” Le combat continue” : intégraux les syndicats (ou quasiment) à la apologie des retraites et des salaires

Parmi les grandes centrales syndicales, il ne manquait que Force Ouvrière et les cadres de la CFE-CGC. Pour le détritus globalité le monde existait sur le passerelle, autrefois, envers la naissance de exhortation nationale alentour de l’abolition de la dérangé des retraites à 64 ans et des salaires. À Toulouse, à l’avertissement de la CGT, c’est à la Bourse du obligation, situation Saint-Sernin, que se sont réunis des militants de la CFDT, des enseignants de la FSU, des fonctionnaires de l’UNSA, des Chrétiens de la CFTC et des représentants de Sud Solidaires. Pour fouetter d’proximité “un conclave sur les retraites dont il ne sortira rien, alors que pour la première fois, un gouvernement s’était senti obligé de revenir sur une réforme impopulaire qui a mis des millions de Français dans la rue”, a modèle Cédric Caubère, le serpentaire de la société régionale de la CGT.

 

“Un 1er mai offensif”…

” On ne peut que constater que cette négociation est morte, a-t-il souligné. La concertation a fait long feu, faute d’une réelle volonté politique de revenir sur la loi. Mais le combat continue”. L’chorus des syndicats présents partagent à foison l’estimation qu’une redoublement des salaires existait brutalement liée à la section des retraites De meilleures rémunérations exécutant, de catastrophe, de meilleures cotisations. ” Il y a eu beaucoup de mobilisations, ces dernières semaines, dans notre région toulousaine, poursuit Cédric Caubère. Que ce soit dans l’industrie, chez Thalès ou Airbus, mais aussi dans le monde de la culture, dans les bibliothèques notamment. Sans parler des manifestations contre le racisme”. Bref, un progrès courtois qui bouillonne bruissement l’survenance du renouveau. En attendant un 1-er mai qui se mijote déjà et que le serpentaire confédéral de la CGT espère provocateur.