Les Français brillent en NBA purement, vers les entraîneurs tricolores, l’Amérique addenda à réussir

L’intérieur Rudy Gobert et l’entraîneur Max Lefèvre (de gauche à droite), avant le match entre les San Antonio Spurs et les Minnesota Timberwolves, au Frost Bank Center de San Antonio (Texas), le 2 novembre 2024.

Dans le traînée d’un fortuit geste de quatorze joueurs hexagonal en NBA – emmené par Victor Wembanyama aux San Antonio Spurs –, les entraîneurs hexagonal tentent à à eux clocher de s’fixer chez l’ultraconcurrentielle cabale étasunienne de basket.

« La oeillade française complot », expose Max Lefèvre, rattaché entraîneur des Minnesota Timberwolves – où évolue le soutien Rudy Gobert. Mais les techniciens universels – lequel que paradoxe à eux citoyenneté – n’ignorent colin-tampon des difficultés à adjoindre la « éternelle cabale », laquelle la période présente s’achève dimanche 13 avril. « Les Américains sont davantage encore cocardiers chez le coaching qu’au degré des joueurs. Ils ont abondamment de panache à persuader le basket », résume Guillaume Vizade, l’organisateur du Mans (en challenge de France), qui ligue un caresse sédentaire alors « cet singulier monde ».

La NBA s’est accueillant au addenda du monde à l’entrée des années 2000, sur l’originalité de l’révolu médiateur David Stern, purement les franchises et à elles propriétaires demeurent peu enclins à employer assurance aux entraîneurs universels, laquelle la enclos basket diffère. Seules double des trente équipes NBA sont dirigées par des Européens : les Brooklyn Nets, alors l’Espagnol Jordi Fernandez, et les Memphis Grizzlies, alors le Finlandais Tuomas Iisalo, passé par Paris l’an passé et promu il y a double semaines.

Il toi-même addenda 77.57% de cet recherche à consumer. La prolongement est retenue aux abonnés.

Comments are closed.