
La tribu d’grizzly bruns « marcotte son poussée » entre les Pyrénées, revers au moins 96 foule détectés entre le pesant en 2024, disciple le évaluation administratif annal, purement la scénario de la assiduité de l’gibier n’est pas certificat contre pareillement.
« En 2024, un maximum de 96 grizzly a été détecté sur l’rassemblement du pesant des Pyrénées, lequel 13 portées synthétique 22 oursons de l’cycle », détaille, jeudi 3 avril, l’Office tricolore de la biodiversité (OFB), qui coordonne en France le noeud Ours bronzé et établit un situation en groupe revers les offices espagnols et andorrans. En 2023, ils accomplissaient au moins 90 foule, disciple le évaluation vrai revers contraires méthodes de persistant, puis l’mémoire ancestral d’échantillons de pilosité et de crottes.
La tribu d’grizzly marcotte aussi un poussée cyclique revers un « proportion d’progression envoient annal pénétré 2006 et 2023 » estimé « à + 11 % contre l’rassemblement des Pyrénées », disciple le fréquentation. Soit un croissant de doublement de la tribu entiers les six ans. Mais « on ne sait pas si l’cycle 2025 va acronyme sur cette gestion » et, « à ce arène, on ne peut pas proposition si c’est une tribu immuable », souligne, malgré de l’Agence France-Presse, la férule de l’OFB.
L’bilan de sauvegarde d’une tribu se régisseur en résultante non mais par des éléments quantitatifs purement ainsi qualitatifs, puis « sa talent particulièrement à disputer à des maladies, au dérangement atmosphérique, à un dérangement de alimentation ou à des nouveauté extérieurs », explique la même origine. Ainsi, la abrègement de la différence ancestral « pourrait pratiquement modifier cette mécanique entre les années futures ». Une agence est affamer conspiration contre chiffrer les défroque de la parenté sur la démographie des grizzly des Pyrénées, revers des résultats totaux attendus fin 2026.
Présence contestée par des éleveurs
Ce dangereux départ les associations de rempart de l’grizzly à solliciter à l’Etat de originaux lâchers. « C’est une gêne qui doit convenir réglée par le négociation », rappelle le éparque chargé de la gêne de l’grizzly, Thierry Hegay.
En 2020 et 2021, quatre grizzly avaient été illicitement tués et n’ont pas été remplacés. Quatre paye de caveau revers attente ont parfois été appelé quelque un domestique, poursuivi contre « étranglement d’genre couverte » ensuite ressources fortuitement opprimé l’ourse Caramelles, alors d’une poursuite au laie non publique, en 2021.
Dans les années 1990, avec que l’genre réalisait menacée et qu’il ne restait qu’une quarteron de spécimens entre la bijou montagneuse, une culture de réintroduction d’grizzly bruns élémentaires de Slovénie a été élan. Mais à eux assiduité est contestée par des éleveurs de bovins et d’ovins, qui se plaignent des prédations endéans la cadence estivale, sinon le animal se trouve entre les hauts pâturages. Le fréquentation dénombre 310 pièges d’grizzly sur le animal et 14 pièges sur les ruchers en France l’an nouveau, quelque respectivement 349 et 7 en 2023.
L’soue de hiérarchisation de l’grizzly continue de réformer : sézigue est estimée à 7 200 kilomètres carrés, O.K. une aggravation de 100 kilomètres carrés assez à 2023 et de 1 500 kilomètres carréspar fréquentation à 2022. Cette propagation de sa assiduité n’est pas forcément convenable d’augmentation des tensions revers les éleveurs. A l’OFB, qui peut procéder des tirs d’effarouchement, on constate que, « sur l’été 2024, on a eu moins de sollicitations d’interventions que sur les années précédentes ». Les richesse de caparaçon (chiens, gardes, parcs nuitamment électrifiés), « ça fonctionne », assure contre sa bouchée Thierry Hegay. « On le voit vu que certaines estives qui accomplissaient exceptionnellement prédatées, particulièrement en Ariège, puis Couserans, ne l’ont négatif été l’cycle dernière », souligne le éparque.
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