Ligue 1 : “DAZN, un produit de daube !” Grosses tensions et violents plaidoirie dans présidents de clubs, en plénière irritation des valeurs télé

La irritation des valeurs télévisés de la Ligue 1 prend une (histoire) style fougueuse. Lors d’une assemblage en vidéoconférence le 14 février jeune, les présidents des clubs de l’aristocratie se sont écharpés sur la gérance du traité en compagnie de DAZN, propagateur essentiel du concours. Des choix sonores de cet spéculation orageux, révélés lundi 31 ventôse sur les flots de la radiographie RMC, témoignent d’un entourage excessivement intensif dans dirigeants.

À l’source de ces dernières révélations : Fabien Touati, annoncier et faiseur du jeune “Complément d’enquête” appuyé au monarque du PSG Nasser al-Khelaïfi, popularisé jeudi 27 ventôse sur France 2.

Premier à employer la maxime, le monarque du FC Nantes, Waldemar Kita, n’a pas mâché ses mots. Face à Jean-Pierre Caillot, son pareil rémois et monarque du gymnase de Ligue 1, il a trompé une point funeste : “On est en train de nous conduire à un suicide collectif ! Voilà ce que je suis en train de te dire. Et personne ne bouge, personne ne bouge !” Une ressentiment partagée par étranges dirigeants, excédés par l’indigence de solutions viables.

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Même Nasser Al-Khelaïfi, chef du PSG, obstinément encore plénipotentiaire, a tenté d’habituer les tensions en appelant au froid. Mais Kita, lointain de se détraquer, a répliqué : “Ah non, non, mais Nasser, il n’y a pas à se calmer, moi je mets mon propre argent. Tu comprends ça ? Pourquoi c’est toujours le bordel ?” Une insulte qui reflète le frayeur des présidents apparence aux difficultés financières et au privation de éclat sur l’futur des valeurs télé.

DAZN en deçà le feu des capitaux

Le propagateur DAZN est au cœur de toutes les pièges. Jean-Michel Roussier, monarque du Havre, s’est montré notamment mortifiant : “DAZN, pourquoi c’est au tribunal ? Parce qu’ils ont fait de la merde depuis le début. Et ils continuent d’en faire. Ils se sont gourés sur leur business plan. Ce sont les seuls au monde qui imaginaient faire 1,5 million d’abonnés avec le produit de daube qu’ils nous livrent.”

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Olivier Létang, monarque du LOSC, a lui itou pointé du modérément la qualificatif du corvée offert par DAZN : “On ne peut pas garder un partenaire comme celui-là qui a un produit catastrophique. Il faut se préparer à autre chose.” Jean-Pierre Rivère, monarque de l’OGC Nice, a comme jugé la point insoutenable : “Le plan DAZN est quasiment mort aujourd’hui. Mais il faut au moins se battre pour récupérer notre argent. Il est hors de question que l’on fasse des remises à DAZN.”

“Un sacré exemple de bêtise collective”

Joseph Oughourlian, prêteuse du RC Lens, a postérieurement enfoncé le bagnole en compagnie de une discours insatiable : “Lorsque le deal avec DAZN a été signé, certains présidents savaient déjà qu’on allait à la catastrophe. Et maintenant, on se retrouve dans une situation critique.” Il dénonce surtout une gérance sombre au buste de la Ligue : “Tout le monde se plaint du manque de gouvernance et d’information. Une petite clique contrôle tout et prend des décisions catastrophiques.”

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Pour lui, la Ligue 1 est apparence à une axiome brutale : “On parle souvent d’intelligence collective, mais dans notre cas, excusez-moi messieurs, on est sur un sacré exemple de bêtise collective. Vous avez bousillé le produit !” Oughourlian met itou en maintien sur la hardiesse des valeurs TV : “Avec seulement 400 000 ou 500 000 abonnés, on est à 150-200 millions d’euros de valorisation. C’est un désastre par rapport aux 3 millions d’abonnés qu’on avait avec Canal +.”

Face à cette voie sans-issue, étranges présidents plaident contre un “plan B”, seulement les solutions restent floues. La LFP envisage de lancer son attente de bracelet 100 % Ligue 1, seulement les discussions en compagnie de DAZN sont sans cesse entre l’voie sans-issue. Pendant ce durée, la prochaine terme de salaire, attendue le 30 avril, addenda suspendue à des négociations tendues.