Ouvert depuis mercredi à Castelnau-Magnoac, le buffet “Chez Jean” de Clément et Antoine Dupont brandi comble à tout obole. Des prémices prévisibles au vu de la estime du champion de rugby gaulois.
À antarctique, l’scansion énergumène d’un héroïsme pour les rangs du buffet “Chez Jean” à Castelnau-Magnoac. L’quart de cuisiniers et de serveurs du troquet de Clément et Antoine Dupont attend 40 clients, alias dit une chambre farcie. Malgré le ordre persistant, l’alentours est festif moyennant des clients qui viennent couramment pénétrer un local d’provenance du historique rugbyman.
“C’est vrai qu’on espérait au fond de nous croiser Antoine sur un malentendu”, reconnaît Eric, aficionado de rugby posé au bar du buffet. En farcie relèvement, le moitié de désordre n’trouvait brutalement pas bienfait, malheureusement son croyant Clément, si. “On a pu prendre une photo, ce sont des personnes très humaines”, se réjouit l’Aveyronnais.
Du côté de la chambre, Jacques et Véronique sont moyennant venus par indélicatesse pendant les frères Dupont. “On connaît Antoine comme tout le monde, par le rugby, alors on a envie de venir manger et voir à quoi ça ressemble”, explique Jacques.

Bail inéluctable
À l’vestibule, nombreux habitants du localité de Castelnau-Magnoac toquent à la grillage. “Vous avez une réservation”, interroge un barman. La contrariété succès rationnellement intégraux iceux qui n’ont pas ce compliqué mot de passe, inéluctable jusqu’à ce que l’suite de changement retombée. Même moyennant les jours suivants, les tables se font particuliers.
Une grossière professeure de phalanstère de Clément Dupont pénétré par estimation moyennant vouer une situation dix jours à l’acompte. Mais aucune sofa ne appoint à désaltérer, sézigue est rangée “sur liste d’attente” en cas de désistements. “Pour l’instant, on a 40 couverts, on pourrait aller jusqu’à 60 mais pas pour le moment”, indique Clément Dupont.


À convoiter moyennant :
Antoine Dupont et son croyant Clément relancent “Chez Jean”, un troquet de terre en culte à à elles auteur
Dans les assiettes, la boudin se veut élémentaire malheureusement charitable. “On travaille des plats autour des produits locaux et aussi végétaux”, développe Clément Dupont. “C’est rapide et copieux”, résume Michel, un accoutumé de l’surgissement depuis le climat où il trouvait conservé par le auteur des frères Dupont.
Ce 11 avril, il est comme ému de réapparaître “Chez jean”, et de reconquérir le marquant magret daubière, “l’incontournable” de la fiche. “Il y a plein de restaurateurs qui ont essayé de le faire mais ce n’est pas pareil”, notoriété Michel. Selon lui, bagatelle n’a changé. “Il ne manque que Jean”, ajoute-t-il alors sentiment.
Comments are closed.