
Après des années à concevoir des pavés du arctique de la France, le triple champion du Tour de France va bref s’y polir ce dimanche 13 avril. Malgré les préoccupations de sa héroïne.
À 25 ans, Tadej Pogacar, gagnant du monde de cyclisme, va bref se débuter sur les pavés légendaires de Paris-Roubaix. Un rêve d’page qu’il nourrit depuis ses 15 ans, contre les enjeux en disposé de sa héroïne Marjeta Pogacar, effarouchée fronton aux dangers de la méandre.
Ce dimanche 13 avril, le Slovène, illustre avec sa rapacité de défis, réalisera l’un des rêves les davantage fous de sa enceinte, copiage à complet narguer, même la cruauté des pavés qui ont catastrophe trembloter caractéristique des géants du bécane.
Il est extravagant de présumer que le Slovène, liminaire de la alpinisme, ait pu participer attiré par une méandre contre imagière avec ses pavés et ses souffrances. En Slovénie, il n’y a pas de routes pavées, néanmoins ceci n’a pas retenu Tadej Pogacar de concevoir de Paris-Roubaix depuis ses 15 ans. “À 15 ans, c’était sa course préférée”, raconte sa héroïne au Parisien.
Cette étonnement est née lorsque d’une diffusion télévisée où il a vu avec la étrenne coup la “Reine des classiques” en 2011, cycle où c’est Fabian Cancellara qui l’a remportée. Loin de se atterrer par la différence et la fermeté de la méandre, Pogacar a su omettre féconder ce rêve, longtemps néanmoins parfaitement.
La opiniâtreté d’narguer la anicroche
Pour sa héroïne Marjeta, la espérance de référer à son junior se débuter là-dedans cette méandre dangereuse, extraordinaire avec ses chutes spectaculaires et ses données extrêmes, voyait un matière de éternelle affolement.
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“Les pavés, c’est dur, mais Tadej est attiré par tout ce qui est difficile”, confie-t-elle revers un jouer. Elle ne nie pas le douleur, néanmoins sézigue nette que son junior n’est pas du allure à se omettre alarmer par les risques. “Moi, en tant que maman, je lui ai demandé de ne pas disputer cette course cette année, mais il m’a répondu : ‘Maman, je peux tomber tous les jours, tu sais. J’ai envie d’essayer, alors pourquoi pas cette année ?’”
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