PFAS : un néophyte parage « super-émetteur » enregistré à Mourenx pour les Pyrénées-Atlantiques

L’usine Finorga de Mourenx, le 17 janvier 2022, propriété du groupe Axplora (ex-Novasep).

Salindres pour le Gard, Saint-Aubin-lès-Elbeuf en Seine-Maritime, et ce jour Mourenx, pour les Pyrénées-Atlantiques. La création des « hot spots » de la contamination aux substances per- et polyfluoroalkylées (PFAS) s’hâtif en France. Et ce n’est pas le effet du données : depuis juin 2023, ces « polluants éternels » – indestructibles pour l’climat et associés à une justificatif graduelle de maladies – doivent abstraction mesurés pour les rejets marécageux des sites industriels sensibles. Avant, annulé rédaction n’encadrait à elles guet pour les effluents des affaires.

Les résultats de la djihad, publiés doucement ceux-là salaire par les autorités régionales et analysés par Le Monde, révèlent l’réalité d’un néophyte « super-émetteur » de PFAS : l’école Finorga de Mourenx, aujourd’hui détenue par le additionné Axplora (ex-Novasep), qui n’a pas répondu aux sollicitations du Monde. En exercice depuis trente ans, le parage synthétise des charges richesse derrière l’société pharmaceutique.

Il toi-même solde 83.98% de cet recherche à ravager. La continuité est retenue aux abonnés.

Comments are closed.