PORTRAIT. Auto : Romain Andriolo, cycloïdal ébauché… Le nouveau Muretain billet de braquet et de moulinet verso la de saison qui s’oblige

Le rêve de Romain Andriolo d’concéder à la Formule 1 s’est brisé ultérieurement une de saison confondu en FRECA (Championnat d’Europe de Formule régionale par Alpine). Il rebondit, porté par une récit rêvasserie sur sa stade. Aujourd’hui, le Midi-Pyrénéen a pesé le “pour” et le “contre” en incertain son carabine d’carrure, en cohabitant en Grand Tourisme (GT3) sur une Ford Mustang (N°65) pour des courses d’résistance de 3, 6 et 24 heures.

Plan “B” en affermi !

Romain Andriolo lève le décadence sur le mets de ses kermesse 2025. Cinq manches en résistance et également en rush pour la fortement réputée enduit GT World Challenge Europe (aviser à nous encadré). La de saison débutera pour un couple de jours sur le Circuit Paul-Ricard (11-13 avril) par une résistance de 6 heures.

C’est une enduit dominant de série éloquente par de impérieux “caisses” habillées somptueusement. Elles reflètent une savante hermétisme d’ingrédients compris berline de rêve et berline de tour. Toutes des sportives affûtées offrant des batailles permanentes suivant le cosmonaute coccyx le moulinet et la résolution du proto et ce, jusqu’au fanion à tablier où le suspense adjonction complet. Romain Andriolo en a événement l’ébauche donc de sa toute ancienne projet aux 24H de Dubaï en janvier inédit.

“Pas de regrets, que du positif'”

Pour Romain Andriolo de Saint-Hilaire (limitrophe de Muret), 18 ans, licencié à l’ASA Armagnac-Bigorre, la 4e de saison de sa nouveau stade est occupée d’espoirs. En remorquant le rapport de son passé, le minot mémoire en même temps que immunité : “Une 3^e saison positive en monoplace (2024), au volant d’une voiture sans assistance, c’est le point important que je conserve car l’école et l’apprentissage, y sont importants et passent par-là ! Quels que soient les résultats obtenus l’an dernier, ce fut une sacrée année d’études qui s’est soldée par de bonnes notes en particulier en Espagne. Mon seul jugement en FRECA : le réel manque de réussite, de performance aussi, que j’ai encaissé. Ce fut compliqué, c’est difficile à expliquer, je reconnais n’avoir pas été juste, non plus, à 100%.”

Une Ford Mustang, un jument

Sauter du auge d’une monoplace à celui-là d’une GT3 constitue un perturbation inconditionnel exclusivement Romain souhaite s’y agir comprendre le surtout laconiquement admissible. “C’est une catégorie où l’ouverture est plus large en terme de professionnalisme en raison de la multiplicité des constructeurs. Pour les jeunes que nous sommes, l’intérêt est important. Cette décision fut compliquée à prendre mais, sur le long terme, je pense que le choix est rationnel…”

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Avant de se exercer, de se construire pour la poil d’un cosmonaute de GT, Romain a admis conseils contre de êtres compétentes quand Renaud Derlot (cosmonaute spécialisé pour les courses d’résistance et de GT, équitablement influenceur) : “Après maintes discussions familiales et l’approbation des partenaires, la décision fut prise. Pour ceux qui me soutiennent, le GT est plus éclairant – n’étant pas tous des passionnés de sport automobile, ils vont pouvoir m’accompagner différemment.”

Essais et présentations pour le Var

Lors des tests collégiaux sur le induction Paul-Ricard (3 et 4 avril), Romain a pu déshabiller non pourtant la Ford Mustang en leçon de redoublement exclusivement équitablement le efficacité de ses équipiers annonçant en même temps que une visé de arrogance : “Je rejoins le Haupt Racing Team (HRT)* cette saison aux côtés de David Schumacher (NDLR : le fils de Ralph, frère de Michael) et Finn Wiebelhaus, dans la catégorie Silver.”

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La nervure allemande enrôle équitablement un contraire cosmonaute logement déjà pour la discipline depuis dissemblables saisons, le Gersois Thomas Drouet de Bétous (imminent de Nogaro) qui mènera la Ford Mustang (N°65) en confrérie d’Arjun Maini (Inde) et de Jann Mardenborough (Angleterre), en enduit Pro.