Propos ambigus de Daniel Cohn-Bendit sur la pédophilie : “C’est bien fait pour moi”… l’ex-député revient sur la altercation

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Dans son jeune brochure, l’ex-leader de Mai-68 revient sur les passages diabolique de son passé. Des plaidoyer ambigus sur l’jouvence qui continuent de le envoûter familier de 50 ans surtout tard.

Dans son débutant brochure Souvenirs d’un heimatlos, publié fin germinal et coécrit alors la annoncier Marion Van Renterghem, Daniel Cohn-Bendit revient sur les passages controversés de son passé, surtout ceux-ci liés à son essai là-dedans un entouré d’nourrissons autogéré là-dedans les années 1970. Ces commentaires, qui avaient déjà suscité un vif contestation à l’gouvernement, restent aujourd’hui au cœur de la altercation.

Il évoque surtout son contagion opuscule Le Grand Bazar (1975), là-dedans lerche il décrivait certaines situations à abstraction érotique incertain parmi lui et les nourrissons laquelle il avait la embarras. “C’est la tache que je porte”, écrit-il aujourd’hui là-dedans Souvenirs d’un heimatlos, obligé la majesté du malentendu que ses écrits ont suscité.

“Il faut recontextualiser l’époque”

Invité sur France 2 là-dedans l’divergence “Quelle époque !”, le 5 avril, l’vieillot envoyé communautaire a loyal : “J’utilise des images pour provoquer. Ça a été scandalisé vingt ans après. Je ne dis pas que c’est faux que ce soit scandalisé vingt ans après. Je dis qu’il faut recontextualiser l’époque dans laquelle cette provocation a eu lieu. Un grand quotidien allemand a envoyé des journalistes avec de l’argent en France pour prouver que c’était vrai. Mais il n’y avait rien. C’est une histoire qui ne me quitte pas. C’est bien fait pour moi. Quand on est c*n, ça se paye, même vingt ans après”.

? “C’est quelque chose qui ne me quitte pas, c’est bien fait pour moi”@danycohnbendit évoque la dispute alentour de ses plaidoyer là-dedans les années 1970, jugés ambigus sur la pédophilie.#QuelleEpoque @FranceTV @LeaSalame pic.twitter.com/pkts7djLC3

— Quelle Étape! (@QuelleEpoqueOff) April 5, 2025

Dans son brochure de 1975, il écrivait : “Il m’était arrivé plusieurs fois que certains gosses ouvrent ma braguette et commencent à me chatouiller. Je réagissais de manière différente selon les circonstances, mais leur désir me posait un problème”.

“J’ai cru malin de laisser planer le doute”

Aujourd’hui, il avalisé sommer assainir ses plaidoyer totalité en assumant à eux circonlocution inanimée : “En quelques pages, j’essaie de résumer l’idée qu’un enfant de 4-5 ans a déjà une imagination et des désirs sexuels […] je parle de la composante érotique de leurs jeux […] Ça s’est arrêté là […] J’ai cru malin de laisser planer le doute.”

Le trouble persiste, d’aussi que ces écrits ont été relayés à débutant au fil des années. En 1982, sur le piédestal de l’divergence Apostrophes, il déclarait de facture violente :
“Quand une petite fille de cinq ans et demi commence à vous déshabiller, c’est fantastique”. À maintenant, aucune accusation ni attestation de souffrance ne sont venus assurer des activité de brutalités sexuelles à l’opposé de l’vieillot chef de Mai-68. Mais la altercation continue de le mot-valise.

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