
En herbage verso la présidium des Républicains, le rusé le encore en célébrité du direction Bayrou existait à Balma (Haute-Garonne) ce chahut 12 avril. Ses honnêtes, résolus, voient en lui l’excessif veine d’une cordiale “assumée”.
Samedi jour, sur les pavés davantage glacés de Balma (Haute-Garonne), une trentaine de public attendent antérieurement la foire de cinémascope L’Odyssée. Les doudounes sinon manches dominent, les chevelure sont généralement liliaux. Les discussions vont de la précaution locale à la pâté du pays, envers, ici et là, maints explication acides sur “les gauchistes”. Dans les haut-parleurs, Dalida succède à Joe Dassin, ensuite à “The Final Countdown”. “On n’est pas si vieux, hein !”, s’agréé une militante, sac en ceinture et insigne français.
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À l’viscère, les chaises font enceinte tout autour des drapeaux hexagonal et communautaire. “On est entre gens de droite, c’est rare”, luge Marie-France, militante toulousaine de longuette règne. À maints pas, Meggy, Nicole, Valentine et Louiza, abats du cellule de squelette à Bruno Retailleau, discutent convictions. “Il est concret, pas dans la doctrine. Il ne cherche pas le buzz, il applique ce que les autres promettent.”
“Pas de zigzag, pas de pas de côté, pas de ‘en même temps'”
Bruno Retailleau, congrûment, fend la multitude. Serrage de mains, bises appuyées, éclair d’applaudissements. Le rusé de l’Intérieur, en herbage verso la présidium des Républicains, promet un “serment de Balma” : bouleverser les “militants du combat” en “militants d’espoir”. Et capote, évoquer une cordiale sinon contorsions : “pas de zigzag, pas de pas de côté, pas de ‘en même temps”‘, lâche-t-il, captiver en lopin.
Dans la foire, les encore convaincus opinent. Christophe Reneteau, Vendéen de 56 ans, complet diligent coupé et chevelure brossés envoûtement l’arrérages, est un squelette de la vainqueur moment. Ami de longuette règne des Retailleau, il goûté que “Bruno ne fait pas dans les rondeurs démagogiques”. “Il est juste, adepte. Contrairement à Laurent Wauquiez, il ne va pas à hue et à dia.” À ses côtés, Maïté, 80 ans, honnête blondi et bague de perles, esprit sinon on évoque le amant. “Retailleau, il va vers les gens. Au moins, lui, il n’a pas les dents qui rayent le parquet.”
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L’atmosphère se veut studieuse, grossièrement recueillie. Les applaudissements ponctuent les saillies du rusé : sur l’migration (“La France n’est pas un hall de gare”), le halte du vaisseau (“symbole de soumission, pas de liberté”), ou l’Algérie. “Boualem Sansal est un auteur qui raffolé la France. Libérez-le”, martèle le Vendéen. Dans des coins de la foire, des public agitent craintivement un couleurs français.
“Ah, des polémiques, j’en ai fait !”
Pour Alexis, 20 ans, universitaire en juste, complet élève batellerie et boîte d’écouteurs en dextre, Bruno Retailleau incarne “une droite de transmission, pas de séduction”. À ses côtés, Lucie*, dieu de conférences en juste, enchérissement les mirettes à l’insinuation de Laurent Wauquiez : “Bruno Retailleau est clair, nuancé. Il n’est pas dans la caricature.”
Un peu encore ailleurs, une paire de frères sosies de 18 ans, chemises rayées et pulls élève batellerie, opinent. Louis*, séide dans Reconquête, loue une “droite qui assume ses racines chrétiennes” et dénonce “le grand remplacement et l’islamisme”. Lui pour examen Bruno Retailleau envers accaparement. “C’est le seul ministre à mettre des mots sur des réalités.”
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Dans les rangs, les prises de aphorisme des élus locaux saluent “l’intégrité” du Vendéen, sa “constance”. Lui-même revendique le “parler vrai” plus grêlé de erroné. “Ah, des polémiques, j’en ai fait ! Mais c’était le seul moyen de s’adresser aux Français.”
Lorsque l’propos tournure à sa fin, la foire se lève, applaudit longtemps. La Marseillaise est chantée. À la échappement, Meggy sourit : “Il est fidèle à lui-même. Et c’est rare.”
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