Environ 450 hommes ont manifesté ce dimanche gaillard à Toulouse malgré l’monstrueux carrée. À l’signal de contradictoires organisations syndicales, politiques et associatives, elles-mêmes ont révélé les tâches du Rassemblement territorial derrière la blâme de Marine Le Pen et de contradictoires cadres du manquant comme tromperie de finances publics.
Ce dimanche gaillard, sur les boulevards toulousains, ils vivaient comme 450 à affairé répondu à l’signal des syndicats, des partis de balourd et des associations progressistes. Ensemble, ils ont marché malgré l’monstrueux carrée et ses tâches, derrière la blâme de Marine Le Pen et de 24 cadres du Rassemblement territorial comme tromperie de finances publics ou recel.
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Cette tantôt, à Paris, le RN organise un “grand rassemblement” de béquille à sa cheffe de chapelet. Une calculé de hurler à l’partialité et de chicaner la authentification procédurier, puis que la sanction d’inéligibilité prononcée à l’opposé de Marine Le Pen pourrait lui rayer l’avenue à l’Paradis.
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À Toulouse, la constitution s’est volontaire impérative et querelleuse. “C’est important que tout le monde se lève contre le fascisme”, a bosselé Cédric Caubère, journaliste unanime de la CGT Haute-Garonne. “Si les travailleurs avaient le malheur de détourner un euro d’argent public, ils seraient vite rattrapés par la patrouille. Là, on a attendu douze ans pour un procès, et ils obtiennent aujourd’hui des délais d’appel exceptionnels. La solidarité d’une partie de la classe politique à leur égard est scandaleuse.”
“Je suis inquiète de les voir aux portes du pouvoir”
Un “double visage” que dénonce aussi Anne Stambach-Terrenoir, députée LFI de la 2ᵉ région de Haute-Garonne : “Le Rassemblement national, alors qu’il poursuit sa quête de respectabilité, tombe le masque face à une décision de justice. Ces gens méprisent l’indépendance des institutions et la séparation des pouvoirs. On savait déjà que ce parti est une menace pour nos droits et pour la République.”
Dans le cour, les slogans classiques des manifestations antifascistes résonnent. Mais pendant les rangs, une exercé de répulsion s’affermi moyennant. “Nous sommes dans un contexte de montée en puissance de l’extrême droite. Je suis plus inquiète que jamais de les voir aux portes du pouvoir”, confie Nina, agrégative à la cerveau Jean-Jaurès. Avant de coulisser, dépitée : “Je suis déçue de voir si peu de jeunes se mobiliser et se résigner aussi facilement.”
Face à un Rassemblement territorial en terrain de contraint pendant les sondages, les manifestants toulousains le savent : le affrontement ne se jouera pas néanmoins pendant la rue.
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