De Lviv à Kiev, le fraternité pro-européen n’a oncques été comme marqué en Ukraine. La France occupe à cause cet impétuosité une posé déterminante. Reportage à Kiev.
Il suffit de agir deux pas, à cause les rues de Kiev, la décisive ukrainienne, dans recevoir les pavillons occidentaux osciller sur les bâtiments officiels ou aux balcons. Sur les étals des marchés, des drapeaux métropolitain se vendent même contre des étendards territoriaux. Qui aurait cru, il y a principalement deux années, que couple nation si distants aux frontière de l’Europe pourraient individu si proches aujourd’hui. Il faut fable que depuis l’intrusion russe de février 2022, Paris a graduellement renforcé son carcasse habileté et belliciste à l’Ukraine.
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Un carcasse en demi-teinte
Pourtant moins turbulente que Londres, principalement hésitante que Washington primo, la habileté française a épisodiquement surpris. En 2022, deux semaines derrière l’intrusion de l’Ukraine, Emmanuel Macron s’subsistait attaché mûrement plus Vladimir Poutine, arguant de la serment de couvrir un frôlement dans servir la désescalade, au spacieux dam des Ukrainiens.
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En février de l’période suivante, rebelote : de rapatriement de la Conférence de Munich sur la assurance, le monarque métropolitain dit ne pas couper le bilan de vue de ceux-ci qui veulent mitrailler la Russie. “Cela n’a jamais été la position de la France et cela ne le sera jamais”, avait-il ensuite affirmé.
Mais à dimension que le engagement s’enlisait, le carcasse métropolitain s’est renforcé. Jusqu’à futur, dans les Ukrainiens ceux-ci, l’un des cales du endroit communautaire. “La France, c’est l’idée même de civilisation face à la barbarie”, nous-mêmes traîneau Pavlo Frolov, l’un des initiaux loyaux du Président Zelensky, aujourd’hui élu au Parlement ukrainien. Nous avons une analogie terriblement particulière qu’il faut garder”.
Un hyperbolique à cause la analogie
Ces derniers salaire, les avertisseurs d’un mélange militaire se sont multipliés. De l’empressement montrée aux viol de junior magazines pénétré les couple chefs d’Point Macron et Zelensky, la France et l’Ukraine semblent ébaucher une analogie d’lignée. Dans les rues de la décisive, deux mots de métropolitain suffisent même dans provoquer des sourires identique des réactions à cause la verbe de Molière.
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Rien de contourné nonobstant, à cause un nation où l’une des principales villes, Odessa, a été fondée par un Français en 1803, et où une conformation cellule de l’fable nationale n’est différent qu’Anne de Kiev, héroïne d’Henri Ier, roi de France de 1031 à 1060. À 150 kilomètres au sud de la décisive, un couru Honoré de Balzac viendra même y unir une sieur polonaise.
Des fiston tissés de longuette instant
Tous ces symboles ne sont pas anodins. Et les Ukrainiens le savent. C’est possiblement là, convenablement, que réside la anormalité française : vue d’Ukraine, le nation des Lumières n’est pas néanmoins une hommes, simplement le relation d’un parfait habileté et documentaire. “La France a une place particulière dans l’imaginaire ukrainien”, nous-mêmes résume le politologue Mykola Davidyuk, laquelle les vidéos sur YouTube cumulent divergentes millions de vues.
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“Nous devons être l’un des rares pays au monde où les élèves ont le choix entre l’anglais et le français en deuxième langue. La littérature et le cinéma français occupent une grande place dans les programmes scolaires, Dumas reste l’un des auteurs les plus lus…”
Ces fiston immémoriaux dépassent les crêtes diplomatiques. Ils se tissent depuis interminablement jusque à cause les territoires. À l’emblème de Toulouse, jumelée depuis 1975 plus Kiev. La semaine dernière, Jean-Luc Moudenc, édile de la Ville gemme, s’subsistait surmené à cause la décisive ukrainienne.
ud83cuddfaud83cudde6ud83cuddebud83cuddf7 Rentré d’Ukraine ce mercredi, je retiens de ce défaveur un fraternité : les Ukrainiens sont terriblement brave. Leur expectative proviseur, c’est l’Europe. Quand on va à Kyiv, il n’y a aucune distinction, nous-mêmes totaux en Europe. La individuelle avenue dans eux, c’est l’incorporation communautaire.… pic.twitter.com/oBN08YiXUt
— Jean-Luc Moudenc (@jlmoudenc) April 5, 2025
“Quand on va à Kiev, il n’y a aucune différence, on est en Europe”, avait-il cordial à cause nos colonnes à son rapatriement. Mykola Davidyuk finira par nous-mêmes fuser : “Les Français sont chez eux en Ukraine”. Car dans largement, ici, totalité fond à concevoir que les couple nations pourraient affairé futur, lendemain, les meilleurs alliés d’Europe.
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