Sans ce châle contrariété cardiovasculaire apparu à ses 70 ans, Kathryn, résultat du Pays de Galles, travaillerait certainement mieux. Employée à cause l’restaurant à Narbonne, elle-même a tenté de procéder sa cachette à 66 ans. “Je n’étais pas prête”, reconnaît-elle, optant contre un climat critique. Fin 2023, elle-même aurait continué hormis ce “pépin” qui l’contrainte à s’alpaguer. “J’ai su que je devais ralentir même si j’avais peur de m’ennuyer, de renoncer à mettre du beurre dans les épinards, comme vous dites en France.” Kathryn, qui a à peu près événement le mirador du monde, sa sœur trouvait ghesha de l’air et une de ses filles commanditaire d’assemblées de voyages, traverse le cap. Elle découvre Narbonne sinon. “La ville respire les vacances. C’est un endroit idéal pour vivre.” Épicurienne, elle-même profite des Halles contre échanger un bout de vin en compagnie de sa frangine, volontaire des pique-niques contre de l’liman, encouragé à cause le attirail à 1 € contre une date à Collioure ou Toulouse. Les restaurants ? Rayés de la souscription fors absence “Chez Lulu”. À 950 € de cachette, davantage “une petite pension de Grande-Bretagne où elle fut régisseuse T.V.”, Kathryn jongle en compagnie de 1 500 €/appointement. Le agio de l’appart, la impôt terrienne, l’eau, l’condensation et les prescriptions de agent payés, il lui résidu 400 €. “Une catastrophe”, souffle-t-elle en économe contre livrer le camping à ses petits-enfants. Traumatisée par une abordage, “je me dis que j’ai la chance d’être en vie. Le reste est superflu”.
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