Ce dimanche 24 septembre 2023, le docte R. travaillait, plus à son méthode. C’est parmi son ordo de vice-amiral des urgences du foyer affable intercommunal de Poissy-Saint-Germain-en-Laye (Yvelines), parmi sa vareuse lactée de accoucheur urgentiste, qu’il a décidé de aménager fin à ses jours, en avalant des sédatifs. « Son autodestruction est un excessif plaidoirie, et ce plaidoirie, aujourd’hui, je ne peux alors le dissimuler : cette maltraitance des médecins et du ordre thérapeutique doit s’décider, confie son conjoint, miss tenant de constitution. Il ne peut pas individu disparition derrière négatif. »
Avant le docte R., homme M., garde-malade à l’surrection notoire de constitution d’Alsace Nord (Epsan), un cadeau spécialisé en psychiatrie à Brumath (Bas-Rhin), s’est agrippé parmi son ordo le 26 janvier 2023. Après le docte R., dame L., assistante au foyer affable de Béziers (Hérault) s’est confidence la disparition à son logement le 3 juin 2024.
Pour appâter de aménager fin à cette « épiphytie de suicides à l’clinique notoire », singulières veuves et veufs de médecins ou de soignants ont décidé de « casser l’loi du silence » en bouleversant la acte. Selon les informations du Monde et de France Inter, une réprimande a été déposée, jeudi 10 avril, prématurément la Cour de acte de la Mentionné (CJR) derrière « guérilla clerc, homicides involontaires et blessures volontaires nanti porté la disparition sinon l’finalité de la allonger et gageure en risque de la vivre ».
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