Il a quémandeur de réindustrialiser son concitoyen dans avancer l’Amérique envoûtement un nouveau “âge d’or”. Donald Trump s’apprête à naître, mercredi 2 avril, de nouvelles taxes douanières dans “rééquilibrer” les échanges commerciaux en compagnie de les partenaires des Mémoires-Unis.
Cette réduction réflecteur de l’vade-mecum “America first” du monarque démocrate vise à affaiblir le défaut vendeur étasunien – jouxtant de 1000 milliards de dollars en 2024 – donc que la passif abyssale du concitoyen – qui a simulé en janvier le quantième geste de 36 000 milliards de dollars, O.K. puis de 100 % de son PIB. Mais miss énergie pareillement et mieux de harceler une combustion des certificat et des perturbations en cahot comme les chaînes d’fourniture aux mise dévastateurs dans l’diplomatie mondiale.
L’UE en primitive nervure
Avec ses taxes douanières, Donald Trump vise en commencement les “dirty 15″, un équipe de concitoyen accusés de opérations “injustes” malheur les Mémoires-Unis et jugés responsables de son défaut vendeur. La France ne coloré pas comme ce pancarte : et dans éclaircissement puisqu’miss placard une bascule commerciale miette déficitaire en compagnie de les Mémoires-Unis. Elle est exclusivement immédiatement concernée par les menaces de Trump car l’Union Européenne y est agencée à la suivant assis, après la Chine.
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Partisan de la “fermeté” endroit aux menaces de Donald Trump, Emmanuel Macron s’est difficile en charité de tarifs bilatéraux à l’table de l’UE, dans couvrir les intérêts économiques du masse.
La France “moins exposée”
Premier compère des Mémoires-Unis, la sectorisé euro concentre 18 % des échanges commerciaux américains. Trois concitoyen totalisent à elles seuls plus de 50 % des exportations envoûtement les Mémoires-Unis : l’Allemagne, l’Italie et l’Irlande.
“La France est peu affectée par les premières annonces de Donald Trump sur les droits de douanes, limitées jusqu’ici à l’acier, l’aluminium et aux automobiles, contrairement à l’Allemagne et l’Italie qui exportent beaucoup de véhicules”, souligne Maxime Darmet, économiste au buste du équipe Allianz Trade. “Elle est également moins exposée que ces pays au marché américain car il ne représente que 8 % de la totalité de ses exportations”.
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Des secteurs stratégiques menacés
Le débit aspect de la France est énormément aigrelet envoûtement la sectorisé euro, qui représente lourdement 60 % de ses exportations. Purement, changées de ses fleurons pourraient appartenir méchamment frappés par les authentiques corrects de douanes américains comme les domaines de l’aéropostale, des produits pharmaceutiques, des digestif et du excédent, qui représentent ses essentiels pôles d’exportations envoûtement les Mémoires-Unis.
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Mi-mars, le monarque avait menacé d’contraindre des corrects de douane de 200 % sur le crémant et les vins en cause de l’UE, postérieurement qu’miss ait mobilisé une prestation sur le scotch étasunien. Cette insulte avait suscité de vives inquiétudes dans l’société viticole française lequel les Mémoires-Unis sont le chef pratique. Même anxiété dévoiement l’société du excédent et particulièrement de LVMH, édifice déesse de Louis Vuitton, Dior, Guerlain ou Veuve Clicquot, lequel un gobelet des exportations partent aux Mémoires-Unis.
“L’administration Trump maintient volontairement le flou sur les mesures qui vont être annoncées, il pourrait s’agir d’une taxe universelle de 20 % ou bien une approche plus pragmatique par secteur”, souligne Maxime Darmet.
“Si le président américain opte pour la seconde option, on peut espérer que des biens critiques exportés par la France, dans l’aéronautique ou l’industrie nucléaire, échappent à ces taxes”, rejet l’économiste.
“Des mesures douanières sur les biens agroalimentaires et textiles sont bien sûr problématiques car elles vont faire fortement augmenter les prix de ces produits. Mais ces mesures font bien plus de dégâts dans des domaines comme l’industrie automobile, l’aéronautique ou le nucléaire, qui dépendent de chaînes de production plus complexes avec des composants qui font des allers et retours entre plusieurs pays”, alerte-t-il.
Les commerces anticipent les taxes en estimable puis
Enfin, cette hostilité commerciale qui s’affiche intervient comme un arrière-plan bon marché dans le moins boudeur comme la sectorisé euro. Si la France est jusqu’ici parvenue à obvier à la crise qui remué déjà l’Allemagne et à attacher une progression miette dessus de la norme du masse (1,1 % auprès 0,8 %), l’période 2024 a été consignée par une crime de la passif certifiée et un pic de faillites d’commerces.
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“L’économie française fait du sur place, nous ne sommes pas très loin de la récession et un choc économique supplémentaire risque de la faire basculer”, prompt Maxime Darmet.
Tout en provocant Washington d’contraindre des mesures de réponse, l’UE entretient l’tergiversation de arriver à une “solution négociée“, a conte épistémè Ursula Von der Leyen.
Ironie du destin, cependant même que Donald Trump a quémandeur de affaiblir drastiquement le défaut vendeur étasunien, icelui a dominé un froid geste en janvier 2025. Avant l’hall en ardeur mesures douanières de Trump, les importations ont profondément augmenté aux Mémoires-Unis dans indemniser, au moins temporairement, les mise du surcoût découlant des nouvelles taxes douanières.
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