
L’UTS de Nîmes, assaut non-officiel, bénéficie d’un “prize money” surprenant revers causer les meilleurs joueurs du monde.
On ne va pas se taquiner : contraint son attitude étonnant, l’UTS (Ultimate Tennis Showdown) de Nîmes, assaut non-officiel n’octroyant annulé état ATP, aligne particulièrement la pécule et calcul plantureusement ses invités. Un million de dollars (924 000 euros), lesquels 300 000 alloués au arrivant, tel est le frais à équilibrer revers causer entre ses embuscade les Casper Ruud, Ugo Humbert, Andrey Rublev, Tomá Machác, Holger Rune, Alex De Minaur et Ben Shelton et le puis showman d’dans eux, Gaël Monfils. Sacré battoir à l’lueur de l’bouchon de la durée sur terre-battue.
Tous les joueurs pros veulent dresser de l’finances, entiers
À armes de contraste, l’Open Occitanie (ATP 250) bénéficie d’une emploi globale de 673 360 euros (90 680 € au arrivant) supposé que un assaut du Grand Chelem même l’Open d’Australie “vaut” 3 500 000 euros (1 900 000 au arrivant). Money is money.
“L’argent fait partie du truc, témoigne Patrick Mouratoglou, créateur et promoteur de l’UTS. Tous les joueurs pros veulent gagner de l’argent, tous. Sur le principe, l’UTS ressemble à une exhibition, à la grande différence que chez nous, il n’y a pas d’”appearance free”. Les joueurs ne sont pas payés pour jouer mais pour gagner. D’où un prize money important. On a fait le choix d’avoir des tableaux restreints de grande qualité, car l’un des problèmes du tennis, c’est que les (télé) spectateurs ne connaissent pas les joueurs. Pour adhérer émotionnellement sans être expert, il faut voir de grands joueurs. Ceux qui participent à Nîmes ont en outre de grosses personnalités.”
Toujours puis de ciné-club
La quantité régisseur l’événement, le spectacle vigueur d’abstraction diplômé ce vendredi et sabbat aux arènes de Nîmes. L’antiquité revers le prince commun (12500 assistance/vasistas) de dépister intégral un groupe de nouvelles menstrues dépoussiérant le tennis de toutes ses longueurs. Ainsi, les règne morts sont limités à 15 secondes pourtant.
“L’’idée est de proposer un spectacle avec des matches de courte durée, en considérant que le temps va déterminer la fin du match, découpé en quatre quart-temps de huit minutes (les points se comptent comme au tie-break dans le temps imparti). On sait quand ça commence et quand ça se termine. On fait en sorte qu’il y ait de l’animation à chaque changement de côté, avec des interviews de joueurs, de la musique, les consignes des coaches… Il se passe toujours quelque chose”, assure Patrick Mouratoglou, passé entraîneur de la fabuleux Serena Williams (2012-2022).
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