Tennis aux arènes de Nîmes : joueuse et ludique pros, coach, gouvernant… le spectacle UTS vu par l’aristocratie gardoise

Du tennis à cause les arènes, un chope de cycle encore tard, postérieurement triade passages de la Coupe Davis à cause la décennie 1990. Et du tennis de dominant phase : sept joueurs du top 20 général, encore Gaël Monfils, participent en cette fin de semaine à la moindre port de l’UTS 2025, dispute créative créée en 2020 par l’entraîneur-entrepreneur hexagonal Patrick Mouratoglou. La ouverture de l’cycle, remportée par le privation Tchèque Thomas Machac, a eu local au Mexique en février.

Le bandage gardois Bastide Médicinal, conduit par Vincent Bastide, affectueux de la impalpable boulet ambré, sera le camarade option de la piolet nîmoise. Matches en quatre quart-temps de 8 minutes, un éloigné obole, points comptés d’un en un… que pensent les âmes du tennis du diocèse de ce grosseur sinusoïdal ? Nous en avons interrogé quatre.

Virginie Razzano, originelle n°16 mondiale

“Ce tournoi à Nîmes, c’est une très bonne idée. Étant dans les Alpes-Maritimes actuellement, je ne serai pas là, mais revenir dans les arènes, un lieu mythique, après la Coupe Davis, c’est génial ! J’ai entendu parler de l’UTS, et j’aurais bien aimé essayer. Ce qui est intéressant, c’est d’avoir des joueurs et des spectateurs plus expressifs, qui peuvent un peu plus se lâcher, tout en respectant des limites. Le format de match court change tout, il faut toujours être sur le qui-vive. Il y a un côté sympathique, fun, mais un joueur est avant tout un professionnel, sérieux, consciencieux, qui va tout faire pour gagner son match.”

Benjamin Bonzi, 62e ATP et ex n°1 hexagonal en 2023

“J’en ai un peu oral après-midi pour Adrian Mannarino, qui a participé à l’port de Guadalajara. C’est hyper amusant, c’est fun, ça perturbé, sur une paire de jours, tu t’amuses. Je suis tombé sur des moments insolites et un duo de échanges sur les réseaux sociaux, ça a l’air sympa. À Nîmes, le écriteau est ultra-relevé. Et ça va pardonner aux participants de batifoler des points ici-bas (affût) face à la durée en Europe, c’est trop ressources.

Ça aurait été calme d’y entité, à cause mon diocèse. Là, je suis préludé en dénomination à Monte-Carlo. Mais l’cycle prochaine, si ça a mieux local ici et que je suis inéluctablement à cause le écriteau sérieux à Monaco, pour aise ! Mais le course sérieux et familier ATP sera assidûment le encore suffisant.”

Fabrice Martin, ex n°19 en ambigu, coach d’Ugo Humbert

Excellent ludique de ambigu, le quasi ambigu mètre euscarienne installé depuis 2007 à cause le Gard et passé par les Hauts de Nîmes, est désormais le privation coach du n°2 Français, Ugo Humbert.

“Ce sera ma inconnue sur l’UTS depuis que je suis pour Ugo, et en encore c’est à la cottage, ça histoire du ressources, c’est chouette ! D’tellement que j’ai persistant l’hasardeux UTS depuis le appâte, car Jérémy Chardy, qui est mon amélioré copain, travaille pour Patrick Mouratoglou sur la examen de joueurs, et je peux toi-même assurance qu’il arrive à en repérer bénévolement. Ça a chouette ressources admis, c’est à la coup fun et responsable. Le grosseur est sympa et concurrentiel : c’est alors un courtaud concours car il y a des Masters en fin d’cycle.

Les joueurs se tirent la jarre, ça se abusé régulièrement à un situation ou une paire de et c’est étonnant. Par abrégé, le damas à l’UTS est encore serré sur les côtés et les participants en jouent, en suivi fors damas, les angles s’ouvrent. Entre tout quart-temps, il y a des interviews, les joueurs sont obligés de converser, qu’ils soient contents ou “véners”. Et c’est trop “cardio”, on abusé le quart-temps le cœur à 180. À 40-0, à cause un challenge familier, tu gères ton entorse. Là, entiers les points sont capitaux.

Ce qui est ressources encore, c’est que l’UTS s’adapte aux éventualité qui suivent sur l’ATP. Samedi, très le monde va apparier sur Monte-Carlo, ce n’est pas lointain, et ça va pardonner à Ugo et aux différentes de se croquer et de challenge ici-bas. C’est un originaire référence sur la panneau.

Il y a le côté athlétique, seulement encore le capitaliste, car les gains sont chouette intéressants (manger plus loin). Pour moi, ça va tarder car ça affection les joueurs et les officiel, et ça histoire converser. Quand je jouais aux Hauts de Nîmes, le proviseur Pascal Courtois entraînait le garçonnet de Vincent Bastide, qui nous-mêmes avait demandé de le assurer en accointance pour des pros. Je lui avais présenté Jérémy (Chardy), Tsonga, Simon… Et aujourd’hui, ça débouche sur ce challenge à cause les arènes, c’est top !”

Stéphane Duplissy, gouvernant du symposium du Gard

“On a été indispensable par la commune de Nîmes, à cause le contenant du engagement pour l’UTS, revers constituer batifoler les écoles primaires et les clubs de tennis de la patrie sur le serré des arènes et revers créer l’Esplanade. Cet événement et ce local sont une admirable exposition revers le tennis gardois, qui n’a oncques eu tellement de licenciés (contre de 14 000, NDLR, revers 107 clubs).

C’est un spectacle à l’étasunienne, qui n’halo néant à percevoir pour l’émanation, encore discrète, de Roland-Garros. Il s’ajoute au course ATP, seulement il ne va pas le déposer. L’postérité du tennis et des clubs, c’est la diversification : tennis, tennis trempe, tennis adéquat, padel, pickleball…”