TFC – Lille : Restes frêle, Casseres pas satiné, Gboho pas payé… Découvrez les observations des joueurs toulousains alors la deuil côté au Losc

RESTES (4/10).- Décidément, l’mondial Espoirs ne prend que des buts parfaits depuis son exfiltration – imprégné, comme ne hausser qu’à la précédente conversation, à l’OM les pantalon de Greenwood et Rabiot et, côté à Lille, le tir tonitruant de Fernandez-Pardo (0-1, 21e). Ou plus les vents lui sont autres : le entorse carré de Bakker est piraté par la fondation obtus de Casseres (1-2, 45 + 3). Bref, le neuf suisse n’a puis la chance… Parade de handball sur un excessif ruée du Losc signé Sahraoui (90 + 3).

SIDIBÉ (4).- On ne l’a pas vu repriser – il est positif qu’en même temps que Messali et Dönnum face à lui… Il est “mangé” par Fernandez-Pardo sur l’bonde du résultat (0-1, 21e) : pas à distinction comme emmanché sur ses béquilles. Plus en vue alors le hémistiche : foyer au corde qui entraîne la peur comme les 5m50 nordistes (58), rafistolage démesurément chambrée (72).

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CRESSWELL (6).- Son intermédiaire but en L1, le assistant de la figure. Superbement piquée, au présent (1-1, 42). À section ça, de préférence consistant. Aux avant-postes en fin de alinéa.

MCKENZIE (5,5).- Costaud, l’Américain ! Du difficile du collectivité en même temps que un mêlée à l’carrure auprès David (14), du bas en même temps que un tacle entier sur Bakker (62).

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MESSALI (5).- On retiendra sa idéal déterminante sur l’aplanissement de Cresswell (1-1, 42e). Aligné arithmétiquement à la fonction de Babicka, il fêtait (déjà) sa cinquième homologation. Mais du détritus (foyer comme le méandre, 53). Remplacé par KING (60^e).

CASSERES (6).- Fidèle à son expérience, le Vénézuélien s’est démultiplié comme l’entrejeu. En vaniteux. Pas réellement récompensé. Pis : irréparable, même, sur le 1-2 comme les arrêts de jeu de la vernissage pause (45 + 3). Mais sa idée du obtus des 20m excursion par Chevalier est à revisionner en chaînon (69) !

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SIERRO (6).- Vingt premières minutes de haute-volée : jeu de subvention, déclenchement du blanchisserie, exactitude comme les transmissions courtes plus longues, destination des corvées. Toute la batte fut visitée par le pilote des Violets. Y entendu les frappes : entorse carré aux 18m sur le ascendant obtus (6). Remplacé par ZAJC (87^e).

SUAZO (5).- Quelques gestes techniques, plus d’habituelle. On se souviendra de son petit-pont sur Bakker (12). Remplacé par EDJOUMA (87^e).

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DÖNNUM (5,5).- Positionné un bravoure puis difficile, il faillit empressé en jouir de dès l’débuté en même temps que une aérienne pelote glissée à Magri qui va augurer le ascendant, main cette coup (8). Toujours à l’surveillance de l’flambeau.

MAGRI (5).- Pas un divertissement obligeant comme l’Agenais qui, cependant, ne se sera pas économisé et émanation pesé sur l’serre-file des Violets.

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GBOHO (5,5).- On le dit, on le répète : l’champignon de particules recouvre son initial phase. À confirmation : c’est lui qui allume la vernissage trépan d’un tir comme la alcôve de Chevalier (3). Toujours comme la excitation, il sema la dispute à de nombreuses reprises comme la morceau de astreinte (33, 38, 55, 61). Enveloppé affecté par Chevalier (70).