Un interdit arrangé à Paris ensuite le écrasement de Charm el-Cheikh en 2004

La législation française a arrangé, lundi 31 germinal, le atermoiement en correctionnelle verso homicides involontaires de l’ex-patron de la entourage menue Flash Airlines, fondamentalement éclairé d’renfermer rudimentaire la peloton de ses pilotes entre l’diligent du écrasement de Charm el-Cheikh (Égypte), qui avait anecdote 148 morts lesquels 135 Français en 2004.

Mohamed Nour, un Égyptien de 71 ans qui accomplissait le dirigeant du résolution d’tendance de la entourage à bas montant, liquidée depuis, sera jugé par le chambre correctionnel de Paris verso homicides involontaires, a renseigné l’AFP jeudi 3 avril de eaux proches du registre.

Selon l’légalité des juges lesquels l’AFP a eu accointances jeudi, Mohamed Nour sera jugé singulièrement verso renfermer “créé ou contribué à créer”, dans commandant de Flash Airlines, “la situation qui a permis la réalisation du dommage et/ou en n’ayant pas pris les mesures permettant de l’éviter”.

Son magistrat n’a pas répondu à l’AFP entre l’intrinsèque.

Dans un acte, Catherine Ales, présidente de l’ADFVCA Charm el-Cheikh, l’rattachement des victimes, se dit “très satisfaite” de cette prévenu “après plus de vingt années d’une procédure complexe et éprouvante.”

“La tenue de ce procès sera salvatrice dans le processus de deuil pour toutes ces familles et proches de victimes qui attendent depuis tant d’années”, stipulé Catherine Ales, qui “salue le travail des magistrats”. 

“Je suis extrêmement content que les choses aient bougé enfin. Ca risque de prendre encore du temps, Mohamed Nour aura des voies de recours et il n’est pas sûr qu’il sera là” à l’audition, a encore dit à l’AFP David Fouchard, qui a mouvant onze proches entre ce fatalité. 


135 passagers tricolore tués

Le 3 janvier 2004, l’bagage de Flash Airlines s’accomplissait abîmé en mer Rouge trio minutes ensuite son départ de la embarcadère thermal, ennuyeux ses 135 passagers tricolore et ses 13 abats d’caisse. Soit l’un des accidents aériens les davantage meurtriers impliquant des Français.

Une ouverture forage s’est conclue par un acquittement à Bobigny en 2017, ne soutenant “d’autre hypothèse que celle des fautes imputables à l’équipe de pilotage”, trépassée.

Après le acquittement de 2017, la arrière-cour d’diplomatie de Paris, préhension par les familles de victimes, avait arrangé en 2019 la correctif des investigations par des juges parisiens du sommet accidents universels, jugeant “insuffisantes” les tentatives machination au pension de l’directive verso loger les explications de l’ex-président du résolution d’tendance de Flash Airlines.

Mohamed Nour avait suffisamment par individu mis en percussion mi-décembre 2021 verso homicides involontaires.

Les juges lui reprochent un carence de peloton des pilotes, d’renfermer admis très instantanément au navigant de l’supersonique la capacité de patron de bas-côté, et de n’renfermer pas anecdote idolâtrer les heure de gâchette suffisants des pilotes pénétré les vols.

Négligences, oeuvres escamotées, procédures sommairement suivies…

“La culture de sécurité de Flash Airlines n’apparaît pas comme un axe de management de cette compagnie”, cinglent les magistrates, épinglant aussi des “négligences, de l’à-peu-près, des opérations escamotées, des procédures imparfaitement suivies, des mauvaises habitudes non corrigées, des dérives banalisées, des pratiques non sécurisantes explicitement et implicitement admises”.

Mais les magistrates soulignent encore la méprise des pilotes, “cause directe du dommage”. 

Après une ouverture période de départ commune, des anomalies surviennent excessivement sans tarder. “Regarde ce que l’avion a fait !”, s’écrie le patron de bas-côté.

“Toutes les manœuvres qui suivent sont irrationnelles”, observent les juges : “le pilotage automatique que le copilote dit avoir enclenché ne l’a pas été en réalité, le commandant de bord donne des coups de manche à droite alors que l’aéronef est déjà fortement incliné en ce sens ; aucune conclusion n’est tirée de la simple lecture des instruments”.

Selon les magistrates, cette “perte de conscience” s’explique par “la formation insuffisante des pilotes, le manque d’expérience du commandant de bord pour exercer cette fonction, la fatigue de l’équipage”.

“Leur stress ne fait qu’annihiler leur capacité d’analyse, ils ne savent plus où ils sont et ce qu’il faut faire”, tranchent les juges, notant que entre une témoin période, les pilotes “recouvrent la capacité” de opinion, malheureusement “trop tardivement pour sauver la situation”.

Les juges écartent par distant la rôle pénale de la entourage, qui n’a davantage d’abstraction légale, malheureusement encore de l’tendance de l’aéronavale courtoise égyptienne ou française.

Une ouverture audition de formule, antécédent au interdit sézigue, est prévue le 24 brumaire.

Avec AFP

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