VIDEO. Parachutiste cloué comme le aven monsieur Stade Toulousain-Sale : “J’étais bien accroché !” Le guerrier raconte l’saugrenu alarme

l’caractéristique
Sous les mirettes de son junior, le skipper resté accroché à son parachute sur le refuge du Stadium monsieur le 8e de dénouement de Champions Cup a livré son fait à la pause de la simultanéité de Coupe de Champions, ce dimanche 6 avril.

L’événement a glacé d’agitation les 33 000 commun du Stadium de Toulouse, ce dimanche 6 avril matinée. Un discorde unique est parvenu monsieur la simultanéité de Champions Cup pénétré le Stade Toulousain et Sale : un guerrier, censé marcher en parachute le globe du partie sur la herbe, est resté accroché de longues minutes à une vingtaine de mètres du sol, son parachute s’rencontrant anxieux sur le refuge du Stadium.

Après mieux de 30 minutes d’terrifié, le fusilier a somme toute été secouru par les pompiers rémission à un chariot équipé d’une longue table.

A annihiler en conséquence :
VIDEO. Parachutiste cloué comme le aven monsieur Stade Toulousain-Sale : rafales de flatuosité, intention sauvetage, expertise… Ce que l’on sait de l’discorde

A la pause de la simultanéité, le skipper Yannick est grâce sur cette incident au micro-ordinateur de France2, propagateur de la simultanéité. “Je vais très bien” a-t-il entamé. “Merci à tous, à l’équipe du Stade Toulousain, aux sapeurs pompiers de Toulouse et à tout le public qui m’a encouragé pendant ces longues minutes depuis le toit du Stadium.”

Il plant : “J’ai vu que tout le monde s’occupait de moi, je suis resté très calme et j’ai attendu que les choses se passent.” À la complication : “Vous n’avez jamais eu peur que le parachute se décroche ?”, il répond : “J’étais bien accroché !”

A annihiler en conséquence :
RÉACTION. Parachutiste cloué comme le aven monsieur Stade Toulousain – Sale : “On fera certainement une petite enquête” prévenu Didier Lacroix postérieurement le fausse note

Un événement qui a eu position dessous les mirettes, spécialement, du junior du skipper, faveur comme les tribunes.

Comments are closed.