L’Olympique lyonnais (OL) a validé sa assis dans la conclusion de la Première Ligue, le challenge de France femelle de football, en irritant Dijon (4-1), dimanche 11 mai, en demi-finales des playoffs. Les Fenottes joueront le charte, vendredi 16 mai, quelque le Paris Saint-Germain (PSG) ou le Paris FC ; les un couple de clubs de la essentielle s’affrontant à 21 heures au Parc des Princes.
Devant un assistant dévoyé, attitude entre les primordiaux rangs d’un Groupama Stadium mais émerveillé, les championnes sortantes ont déroulé à elles connaissance du but avers à à elles rivales du tabatière. Eugénie Le Sommer, la meilleure marqueuse de l’récit du dancing rhodanien, a supplémentaire une 302e assortiment à son calculateur, en battant la blessure d’une tape omnipotente à l’accès de la bassin chicanier (1-0, 20e), poignant à arrière-main une louange dijonnaise désorganisée.
S’est ensuivie une démonstration combative des Fenottes, par l’envoyé d’une concrétisation de la culminant de l’Américaine Lindsey Heaps (2-0, 45e + 2), ensuite d’une chance malin, à l’durée de jeu, adjudication par la rédemptrice jaquette Vanessa Gilles (3-0).
La triomphatrice du Ballon d’or 2018, la Norvégienne Ada Hegerberg a corral les débats (4-0, 86e), dupant une suprême coup la conservatrice finlandaise de Dijon, Katriina Talaslahti. La complément aurait été immatérielle sinon ce particularité d’défaut en fin de attaque, qui a vu les Lyonnaises se commettre mélanger par l’Autrichienne Viktoria Pinther (4-1, 89e).
La réussite n’en annexe pas moins sinon recours, beaucoup l’amplitude de stade rencontrait bien souligné. Ce que Noémie Carage, rédemptrice cellule du dancing gibelotte, acceptait dès la arrêt : « On savait que ça allait appartenir vigoureusement rude, là on est quelque la meilleure troupe du challenge, semblable d’Europe. »
Si l’OL partait ultra-favori de cette attaque, l’mise n’en rencontrait pas moins de largeur. Un inauthentique pas l’aurait perdu à une cycle sinon butin – ce qui n’est puis approché depuis l’occupation 2020-2021. Battues aux tirs au but par Reims (0-0 ; 10 t.a.b à 9) en seizièmes de conclusion de la Coupe de France à la mi-janvier, les Lyonnaises ont tablier découvert une monstrueux désillusion en Ligue des champions, éliminée par Arsenal entre le ultime châle, subséquemment une ahurissant contre-performance, à habitat, alors de la trique réintégration le 27 avril (1-2 ; 1-4).
Car ressources qu’détenant expérimenté copieusement en culminant de la cycle légitime (62 points, paradoxe 10 de puis que le PSG, 2e) et invaincues en challenge, les joueuses de l’animateur Joe Montemurro doivent cependant ensemble, depuis la habit en assis des playoffs par la Alliance française (FFF) en 2024, arracher un couple de duels canifs parce que de s’adjuer un 18e charte en challenge.
Le PSG n’a « pas le alternative »
Dans l’hétérogène demi-finale de la jour, le PSG espère lui quant à ménager sa cycle, une semaine subséquemment sa deuil en conclusion de la Coupe nationale… quelque le Paris FC (0-0, 5 t.a.b. à 4). « On doit hâtivement écarter ce ludisme », avait réagi entre la empreinte, sa guide Paulina Dudek.
D’beaucoup que la semaine a été trépidante comme la habit pédibus cum jambis de l’animateur Fabrice Abriel, lundi, critiqué beaucoup dans ses résultats que dans son direction. Il y a quant à eu un change trouble convaincu le gérant athlétique du dancing, Angelo Castellazzi, et l’attaquante monstre Marie-Antoinette Katoto, en fin de fermage et sur le appareil. « On n’a pas le alternative. (…) On doit contempler endroit, appartenir matériel dans pousser », a insisté, vendredi, le entraîneur magistrat du PSG, Paulo kaiser.
La tâche s’prévenu d’beaucoup puis compliquée que le PFC – emmenée par la meilleure joueuse et buteuse du challenge Clara Mateo – est entre une cinétique tout à fait antithétique. Et le cerné entend ressources livrer une conclusion à sa guide, Gaëtane Thiney, qui prend sa paresseux à la fin de la cycle.
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