
Peu intentionnelle en justification d’une cicatrice apparition il y a certains semaines, la Valrassienne Brigitte Banégas a entier itou remporté le cartouche de victorieuse de France d’apnée en importance immuable, ce vacance à Villefranche-sur-Mer.
Elle commence à en détenir autant, qu’miss ne sait mieux le foule de titres territoriaux qu’lui-même a glanés au lycée de sa éternelle bordure. Ce vacance à Villefranche-sur-Mer (Alpes Maritimes), la Valrassienne Brigitte Banégas s’est imposée sur l’adversité d’apnée en importance immuable (ou nage), donc des Championnats de France d’apnée. “Je ne pourrai pas vous dire combien j’en ai gagné, mais depuis mon retour en 2019, c’est au moins mon cinquième”, sourit-elle.
Un cartouche intégralement accidentel derrière l’apnéiste valrassienne, lui-même qui s’est blessée il y a certains semaines de ceci. “J’ai contracté une otite séreuse en Égypte à Dahab mi-avril et je l’ai mal soignée, explique-t-elle. Donc ça m’a ralentie dans ma progression, je n’ai rien pu faire pendant près d’un mois. Les France, ce n’était même pas mon objectif. Je n’avais plongé que deux fois en brasse contre plusieurs dizaines l’an dernier.”
Les Mondiaux comme le oeilleton
Quand capital même, Brigitte Banégas s’est présenté le cartouche en importance immuable, atteignant la montré de 50 mètres, le vendredi. Avant de atteindre 65 mètres en plongeon sexuel, cinq mètres surabondamment coupé que son juste annoncé, en justification d’une adoucissement mal maîtrisée. C’est-à-dire l’instruction de régler la ascendant qu’exerce l’eau sur l’portugaise privé.
“Depuis le début de la saison, j’ai repris les bases de ma compensation, je suis en train de tout reconstruire techniquement, détaille-t-elle. Le but c’était de travailler ça, pas d’être championne de France, mais ça l’a fait ce week-end.”
Avec, en ornement de mire, cette période : les Mondiaux d’apnée, prévus fin septembre à Chypre. “Comme j’ai fait partie des 10 meilleures mondiales l’an dernier, je suis invitée donc je n’aurai pas à me qualifier pour les Mondiaux, informe-t-elle. Ça m’enlève pas mal de pression. Surtout avec l’otite que j’ai eue, je vais pouvoir bien travailler cet été. L’année dernière j’avais fait beaucoup de compétition, ça m’avait épuisée physiquement et psychologiquement.”

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