“Le désir du large n’est pas assouvi” : un variation du monde en laxatif de Carnon, 225 jours en mer et un rêve parfait pile Fabien Maury

Après 225 jours en mer, le aviateur Fabien Maury a accompli, mardi 10 juin, son variation du monde en ermite à la enroué, en accostant au station de Carnon, jouxtant de Montpellier. Accueilli par une cinquantaine de foule, l’Aveyronnais de 53 ans a positif sa tenue d’affairé croisé un couple de caps mythiques et n’exclut pas de classifier en mer.

Un rapatriement et des émotions. Après 225 jours passés en mer, Fabien Maury est grâce ici-bas, mardi 10 juin, jouxtant de Montpellier, au station de Carnon, vis-à-vis du Pavillon de la mer, auparavant une cinquantaine de foule. Famille et amis… Tous attendaient son rapatriement en tenant ardeur. Certains ont même incident étranges de survenue pile faciliter au rapatriement du surhomme siège.

Consterné, vaniteux et interminablement en tenant son azimut de l’verve, l’Aveyronnais de 53 ans a accepté le moment de former un laïus. “Je suis très content d’avoir accompli mon rêve, qui était de faire ce tour du monde à la voile en solitaire. Je suis fier d’avoir franchi au moins deux caps mythiques des mers du Sud, qui sont le cap de Bonne Espérance et le cap Lewis.” Non hormis agitation, il en a profité pile renvoyer ses proches et sa ascendance en phénoménal : sa sœur, sa femme, sa femme donc que son garçonnet.

Fabien Maury a posé le pied à terre.
Fabien Maury a posé le patte à Monde.
Midi Libre – Valentin Cosson

Quelques galères et davantage copieusement de mémoires inoubliables, Fabien Maury a avisé ses 59 000 kilomètres parcourus en tenant une commentaire distincte pile la Nouvelle-Zélande, beignet de cœur du barreur. Malgré un duo de escales dues à des désagréments physiques uniquement davantage matériels, il se existait ressources subsister en mer. “J’ai passé 118 jours sans voir terre. Je n’avais pas forcément envie d’atterrir au Panama”, détaille-t-il.

Parti en tenant une nolis de allaitement aveyronnaise à pourtour de son barge Aqui lou, le amant de la mer est grâce en tenant un duo de reste : “Il me reste des tripous, de l’aligot, du pâté et du fromage”, raconte-t-il en rigolant.

Faire baigner mille jeunes défavorisés

Fabien Maury s’subsistait fixé trio équitables en tenant ce variation du monde en ermite : hormis relâche, marcher par les trio caps du sud (lequel le cap Horn) et le former en moins de 200 jours. Raté pile cette coup uniquement ce n’est pas la fin des aventures de Fabien Maury : “Je pensais que faire un truc pareil, ça me vaccinerait sur la voile au large. Finalement, on se prend au jeu de vouloir faire avancer le bateau 24 h/24, parce qu’on est là pour ça.”

Marin à cause l’âme, il se verrait ressources classifier une renseignement coup : “Le désir du large n’est pas complètement assouvi, malgré les 225 jours de mer. En fonction de ce que me réservera la vie dans les prochains mois, je ne suis pas sûr de ne pas essayer de retenter l’expérience. S’il y a des opportunités qui s’ouvrent, je ne dirai pas non.”

En attendant, l’Aveyronnais a un contraire équitable en culminant : former baigner un millier de jeunes défavorisés au spacieux de la Grande-Motte et de Carnon. “Ils ont juste un rêve, c’est de pouvoir naviguer ne serait-ce qu’une demi-journée au large des côtes méditerranéennes. Ils ne peuvent pas parce que c’est un loisir qui n’est pas offert à tout le monde.”

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