
Invité d’panache de Midi Libre ce mercredi 11 juin, Christian Prudhomme, meneur du Tour de France depuis 2007, s’est livré pendant une temps et demie entrée à nos lecteurs à l’circonstance d’un conversation inopiné au courant lesquels il a balayé revers amour et (im) validité l’mode de la Grande Boucle, qui démarre le 5 juillet de Lille et se terminera le 27 juillet par l’assomption de la Butte Montmartre.
Une débarquement intuitive du triomphe turbulent des Jeux Olympiques, qui empruntera la rue Lepic à triade reprises avec la ouverture coup de son fiction. Traditionnellement délicate aux sprinteurs, cette dernière halte incertain de affoler la balade à complets points de vue. Et aussi pis si ça en confus divers.
Le environnement enroué de la abondance effrénée résonne interminablement compris les immeubles de la rue Lepic. En ce 3 août 2024, le cyclisme assiste, possiblement, à son comme artistique représentation. Voir le réunion olympique parcourir à triade reprises le kilomètre de pavés à 6,5 % de l’route irréel de la dune Montmartre, au substance d’un assemblée en angoisse et des drapeaux multicolores, restera un des comme bons épisodes des Jeux de Paris l’été jeune.
“Pour moi, hors sport, la rue Lepic restera l’image de ces Jeux”, avoue Christian Prudhomme, idéal du Tour de France. Jaloux ? “Un petit peu”, avoue-t-il pendant lequel un captiver. Comment lui en envier.
De toute manière, le assemblée a sans tarder posé le objet sur la comptoir. Face à un tel triomphe médiatique, roturier, musclé et optique, à simultanément un excitation par la rue Lepic sur le Tour de France ? “Si on n’a pas Montmartre en héritage et dans la foulée des Jeux, on ne l’aura jamais. On a tout fait pour l’avoir”, raconte-t-il. Souhait exaucé. Le réunion du Tour sillonnera la escalade à triade reprises, lesquels la dernière à 6 kilomètres de l’débarquement. Ça promet.
“Selon moi, ce serait mieux sans Montmartre”
Chez les coureurs, la mirage n’est pas entier à évènement similaire. “Ce n’est pas la peine de compliquer les choses, on aura assez de moments pour livrer bataille, à se battre pour garder notre position, sans avoir ça en plus le dernier jour, souffle Remco Evenepoel, pourtant vainqueur de la course en ligne des JO et 3e de la dernière Grande Boucle. C’est un stress en plus, une difficulté en plus qui n’est pas nécessaire à mon avis. Si vous regardez les étapes qu’on doit avaler avant, on sera assez fatigués de se battre. Si je peux demander à ASO (organisateur du Tour de France et propriété, comme L’Équipe, du groupe Amaury) d’éviter ce plan, ce serait très bien. Selon moi, ce serait mieux sans Montmartre.”
Même son de grelot parmi Jonas Vingegaard, équivoque guerrier du Tour (2022, 2023) : “Pour être honnête, je ne trouve pas que ce soit une bonne idée. Montmartre m’a semblé très beau aux Jeux Olympiques, avec une très bonne ambiance. Mais quand les coureurs y sont arrivés, il en restait 50 dans le peloton. Là, on sera 150 à se battre pour se positionner, sur une montée très étroite. Ça va ajouter du stress, plus qu’on ne le voudrait.”
En séquelle, la institutionnelle halte des Champs-Elysées ne se résumera pas à des coupes de crémant et un emballage gros. Coup dur avec les pesant cuisses du réunion.
“Je comprends le point de vue des favoris. Mais quand on met les pavés sur une édition, ou les chemins blancs, on ne fait pas tabac non plus. Quand Henri Desgrange, en 1910, décide de mettre les Pyrénées au programme, les coureurs n’étaient pas ravis. Hors, c’est la légende du Tour […] Montmartre avec l’équipe Sky n’aurait rien changé. Montmartre avec les champions d’aujourd’hui, je demande à voir. Si on a un Mathieu van der Poel ou un Tadej Pogacar, maillot jaune sur les épaules, qui part gagner seul sur les Champs, je ne pense pas qu’on aura fait mal au Tour”, assure Christian Prudhomme. On a précipitation.

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