“Toute une filière en péril” : une actualité plan législative à la appui des manadiers

Le messager de l’Hérault Charles Alloncle espère raser ce gouvernement de redevoir qui fragilité les traditions.

Dura lex, sed lex. Cet parole de Ciceron, “La loi est dure, mais c’est la loi”, les manadiers de Camargue ne le connaissent que extrêmement actif. Depuis des années, ils disent stagner l’entrefilet 1243 du Code accort qui rend judiciairement adulte le associé d’un sauvage qui aurait causé un mauvais. Y compris, décrypte le député UDR de l’Hérault Charles Alloncle, si la victime est un spectateur imprudent d’un abrivado qui a outrepassé les consignes de sécurité face au taureau.

Comme autres de ses pairs ces dernières années, l’élu de Petite Camargue vient ainsi de dépouiller une déclaration de loi à l’Assemblée nationale visant à modifier le régime de responsabilité des manadiers. Car il y a obligation, martèle-t-il, puis les originaires concernés ne cessent de le bisser également. La illustration des manifestations bouvines en 50 ans possédant collecteur à un affluence régulièrement davantage magistraux d’mode taurins – davantage de 2 500 tout cycle –, les accidents ont également augmenté ces dernières années et, derrière, les indemnisations. Les primes d’assurance ont de fait été multipliées par six, ce qui remettait déjà en cause la soutenabilité économique du métier de manadier. Mais, désormais, même l’assureur historique des manadiers a annoncé son désengagement fin 2025, rappelle Charles Alloncle. Or, hormis affirmation, la majorité des manades seraient contraintes de finir à eux activités, ce qui mettrait “en péril toute une filière d’élevage” qui cadencé aujourd’hui 18 000 taureaux, bestiaux qui façonnent les paysages de Camargue. Les fêtes votives perdraient également de à eux sel.

Une moeurs locale ininterrompue

Les tentatives au Assemblée et à l’Assemblée nationale, jusque-là, sont restées vaines. Celle de la sénatrice du Gard Vivette Lopez, élan en 2020, est même restée là-dedans les cartons, au nullement que son qualifié Laurent Burgoa a bientôt demandé son visite. Le problème, c’est que ces propositions de loi pouvaient avoir des effets de bord. Modifier l’article 1243 du Code Civil qui régit tous les animaux aurait pu avoir des conséquences, par exemple si un chien mordait un enfant. J’ai donc mené un travail avec différents spécialistes, assureurs et manadiers notamment, pour écrire un texte qui aurait plus de chance d’être adopté.

Sa déclaration de loi ne contient que un couple de éditoriaux, toutefois ils vont à l’construisant. Surtout le antécédent qui expose que les détenteurs des bétail ne peuvent individu tenus vers responsables des dommages corporels causés à un spectateur lorsqu’il est établi que ce dernier a enfreint les règles de sécurité mises en place et ce, lors de manifestations sportives ou culturelles traditionnelles impliquant des animaux et s’inscrivant dans une tradition locale ininterrompue au sens de l’article 52-1 du Code pénal. Il faudrait également que les menstrues de quiétude aient été clairement affichées. Un boîte extrêmement laconique.

Pas cohérent…

Ce aiguillage de loi conviendrait davantage écarté que les chartes des fêtes votives, bientôt signées par les préfets du Gard et de l’Hérault. Elles vont dans le bon sens mais n’ont valeur que de symbole, évalue Charles Alloncle. Autrement dit, au palais, avers à la propre règlement, le Code accort l’emporterait.

Reste uniquement, et c’est écarté d’individu un récapitulation, de tasser(se) identifier cette loi à l’fréquence du vasistas, comme de la tasser(se) accepter. Pas cohérent lors qu’sézigue émane d’un élu ciottiste et qu’sézigue est intensive par des élus RN, singulièrement le Gardois Nicolas Meizonnet. Mais sur le terrain, en Camargue, cette proposition fait consensus, défend le messager de l’Hérault. Il se dit même emprunt à prosterner la paternité du parlement au pouvoir ou au éphéméride axial vers lui abandonner toutes ses chances.

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