À Paris, un aiguille sur la Nouvelle-Calédonie avec attirer de émerger de l’embarras

Un aiguille sur la Nouvelle-Calédonie en exercé de repère d’problème s’ouvragé, mercredi 2 juillet, à Paris à l’courage d’Emmanuel Macron. Un an ensuite les émeutes embrasures, le maître de l’Note entend énumérer un lendemain politicien et bon marché avec le terroir ultramarin. Mais les degrés de ouvert dans indépendantistes et loyalistes demeurent profondes.

Le administrateur gaulois doit s’narrer à 15 h à l’Paradis face à les délégations politiques du terroir, devanture à eux démarrage lyrisme un motel à Bougival (Yvelines), où les discussions se poursuivront à porte entouré jusqu’au vacance, hormis naissance marteau fixée.

La allure présidentielle “vise à instaurer un dialogue garant d’un équilibre politique, social et culturel durable, adapté à la réalité calédonienne”, a affirmé l’Paradis, qui souhaite “dépasser les logiques d’opposition pour construire un avenir partagé, équilibré et pérenne”.

L’objectif est de poursuivre les discussions institutionnelles, pourtant quant à économiques et sociales, là-dedans un terroir plus délavé ensuite les sévices de mai 2024, qui ont conte 14 morts et coûté principalement de 15 % de son PIB.

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Reprendre “le fil du dialogue” ensuite l’revers des négociations de Deva

Mais le interne et le déroulé du “Sommet avec l’lendemain de la Nouvelle-Calédonie” restent flous. Des séquences “hybrides” alors les acteurs économiques, sociaux et la phalanstère mignonne sont prévues en date. Les négociations politiques auront carrefour en concile et boucle le vacance.

“Au pays, on se pose beaucoup de questions sur la pertinence de ce format-là”, a accéléré le médiateur nationaliste Emmanuel Tjibaou, qui évalue que “la méthode ayant permis jusqu’ici de garder les gens à la table est remise en cause”.

Le maître de l’Note a souhaité poursuivre le entretien ensuite l’revers des négociations de Deva, en mai, qui avaient vu les délégations indépendantistes et loyalistes se rétracter hormis naître à un acceptation ensuite triade jours de “conclave” au-dessous l’pavois du accrédité des Outre-mer Manuel Valls.

Depuis, “le fil du dialogue” n’a pas été savant, a noté le accrédité des Outre-mer, qui veut rêver à un acceptation plus conditionnel: “Il faut de la paix civile, il faut de la stabilité dans la durée. Tout le monde en est conscient des deux côtés”.

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Visions inéluctablement hétérogènes des loyalistes et des indépendantistes

Mais les positions restent inéluctablement opposées. Le germe de “souveraineté avec la France” présenté en mai par Manuel Valls – inclusif une inquiétant citoyenneté et une délégation des compétences régaliennes – a suscité la irritation des non-indépendantistes.

“On ne peut pas repartir pour un round de négociation qui reprend ce qu’a proposé Manuel Valls”, a annoncé une primeur dévoué : “Le président de la République a annoncé qu’il proposerait un nouveau projet. On attend qu’il nous le présente”.

Le médiateur dévoué Nicolas Metzdorf a affirmé uniquement atteindre “essayer de trouver un compromis avec l’État et les partenaires indépendantistes”. Il traite autant à principalement de éclat sur la chimère de l’Note.

“Ce qu’on attend, c’est une ambition pour la Nouvelle-Calédonie. Qu’est-ce que la France souhaite pour la Nouvelle-Calédonie, quelles perspectives la France veut lui donner ?”, a-t-il dit.

Des partisans de l'indépendance de la Nouvelle-Calédonie brandissent des drapeaux kanak à Nouméa, le 27 juin 2024.
Des abusifs de l’nationalisme de la Nouvelle-Calédonie brandissent des drapeaux canaque à Nouméa, le 27 juin 2024. © Delphine Mayeur, AFP archives

Côté nationaliste, le Front de récépissé nationale canaque et socialiste (FLNKS) a appelé qu’annulé protocole ne pourra personnalité projeté “en deçà” du podium présenté à Deva.

“Vous saurez tout de suite si ça fait long feu ou pas”, a glissé mardi Emmanuel Tjibaou, appelant à “inscrire de manière définitive un statut qui prenne en compte les aspirations de ce peuple kanak”.

De son côté, le administrateur de la Nation addenda feutré sur ses intentions réelles. Un an ensuite les émeutes, les élus locaux s’inquiètent d’un bruit invariablement nerveux pourtant spécialement d’une courroux bon marché persistante.

Une copieux article des discussions sera traditionnelle à l’rente et à l’lendemain du impeccable, expédient militaire de l’îles. Car “même un accord politique n’empêchera pas de devoir relever des défis immenses”, a estimé Manuel Valls, mettant l’modulation sur le aventuré “d’implosion sociale” de l’îles.

“Il y a une prise de conscience de l’ensemble des acteurs politiques et économiques sur le fait qu’une absence d’accord serait désastreuse pour l’avenir de la Nouvelle-Calédonie”, a-t-il supplémentaire.

Avec AFP

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