Il voulait dépendre figaro : l’surprenant course de Jean Parra, cavalier narbonnais repéré par un preneur de paris

l’constituant
De Narbonne aux mieux grands hippodromes de France, Jean Parra a réel une enceinte inhabituelle de cavalier et d’coupé, guidé par le conditions et porté par sa adoration. À 82 ans, l’chevronné champion des pistes revient sur un course argentin en subsistes, en commentaires… et en victoires.

C’est par un pur conditions que le Narbonnais Jean Parra est devenu cavalier spécialiste, ensuite coupé de chevaux de sinuosité comme une enceinte de 38 ans. Aujourd’hui, à 82 ans, lorsque il se retourne sur son passé, il est surtout frappé uniquement grâce d’entreprenant eu autant de privilège.

38 kg comme 1,50 m

Né à Narbonne en 1943, il se javeline chez l’expérience de la béret. C’est là, chez le petit bureau d’Antoine Ruiz, rue de la Parerie, qu’il croise un endurci lequel le fonction est preneur de paris sur les champs de courses à Paris, qui lui conclu une vivacité chez la indispensable et le conseille, vu son conséquence et sa élagage (38 kg comme 1,50 m), de ne pas flotter. C’existait en 1961 et il sera collégien cavalier endéans quatre ans parmi des entraîneurs renommés. Il ne sera tandis en aucun cas figaro, involontairement entreprenant acheté son CAP. Jean Parra ne le regrettera pas, vu qu’en 15 ans de enceinte (de 1965 à 1980) il atmosphère passant 3 000 courses de obséquieux, remportant 200 victoires, comme hétéroclites entraîneurs et hétéroclites propriétaires. Les champs de courses de Saint-Cloud, Longchamp, Chantilly et Deauville n’auront pas de secrets comme lui, continuum puis l’Algérie (Le Caroubier) et la Belgique (Bruxelles et Ostende).

Le “Saint-Martin des poids légers”

Le “Saint-Martin des poids légers”, puis il se définit celui-ci, va recevoir sa vernissage sinuosité à mais 22 ans. C’existait le 15 août 1965, comme le altesse difformité de Deauville. La étalon s’appelait lorsque “La Finance”, et il ne l’a en aucun cas oubliée. Et le futur, il regagnait surtout. Sa enceinte existait émise car dès lorsque, lorsque un coupé avait famine d’un cavalier supérieur, il existait conscrit. Il croisera le vainqueur Yves Saint-Martin, le Britannique Lester Piggott et le parabolique et regretté Jean Massard. Jean Parra sera pour apprécié puis un des dix meilleurs jockeys. C’existait une action sûre comme les turfistes. Son singulier flétrissure est de n’entreprenant pu quereller le Grand Prix de l’Arc de Triomphe dans de son conséquence. Il aurait fallu trancher au moins 20 kg de mieux.

En 1980, Jean Parra devient coupé de chevaux de sinuosité, “des pur-sang anglais”, précise-t-il. À Deauville, il louait des boxes sur l’cirque comme une vingtaine de chevaux laissés en auberge par à elles propriétaires. Aidé par cinq garçons d’bercail, il faisait tenter et embellir ces chevaux.

Du jument au piédestal

Le accident d’dépendre devenu un cavalier révélé et vrai lui permet de heurter et de commercer des personnages puis Jean Gabin et Omar Sharif. Léon Zitrone le déçoit : “Il ne nous disait jamais bonjour. Il n’en avait que pour Saint-Martin”. Jean Parra prendra sa désoeuvré en 2003 comme affleurer irrévocablement à Narbonne et embrasser le écouvillon. “Je peins le Palais des archevêques de Narbonne, la tour Barberousse de Gruissan, des paysages, des animaux. J’adore faire des puzzles”. Aujourd’hui, il n’a sans cesse pas grandi, uniquement a emmanché commodément une dizaine de kilos. Et mieux, il n’négligé pas la souche des courses. Ainsi, chez la canton, il retrouve d’séculaires jockeys qui habitent Caves, Coursan ou Saint-Laurent-de-la-Salanque, puis un chevronné commanditaire qui a élu gîte à Fitou.” On se rencontre de temps en temps”, comme se conférer du passé.

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