Rodez. “Provocation de l’Iran”, tacle à Retailleau…

Certes, le roquefort et le monde agraire subsistaient au cœur de la entrevue présidentielle. Mais en fin de naissance, le Président a possédé à s’raconter aux journalistes présents. En haussant le ton pile l’Iran. Il a livré une “provocation” de Téhéran à l’doute de la France, au avenir d’informations de ardeur suivant léser les une paire de ressortissants métropolitain détenus en Iran depuis 2022, Cécile Kohler et Jacques Paris, ont été inculpés d’filature moyennant Israël. “Le choix qui a été fait est une provocation à l’égard de la France, une offense et un choix inacceptable d’agressivité”, a-t-il dit, rien déporter “des mesures de rétorsion”. “Mais je n’en suis pas encore là parce que je veux d’abord le convaincre […]. On ne peut pas accepter ça parce que ça ne correspond pas à la réalité”, a-t-il admis.

Un peu puis tôt pendant la naissance, contre cette coup des producteurs de roquefort, c’est un tacle, non costumé à Bruno Retailleau qu’a jetée Emmanuel Macron. Le envoyé de l’Intérieur, coiffé de sa shako de chef du évanoui Les Républicains, venait pendant une réunion de écouter l’cessation des “subventions publiques” moyennant l’éolien et le photovoltaïque. En Aveyron, Emmanuel Macron lui a répondu, rien le plébisciter. “J’ai cru comprendre qu’il y avait beaucoup de dégâts sur les énergies renouvelables. Je dis qu’on en a besoin, comme le nucléaire. C’est mon “en même étape”. Sur ce sujet, il faut sortir des lubies et des caricatures”, a-t-il affirmé. Le prédication est passé.

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