À divers jours du consultation de confidence au métier Bayrou, trio figures de la France espiègle chez le septentrion du Lot critiquent fortement le localisation de Christophe Proença, avisé de dénoncer le plateforme du Nouveau Front commun.
Le entremetteur socialiste Christophe Proença, a annoncé qu’il ne voterait pas la confidence au métier régenté par François Bayrou, lundi 8 septembre. Une acquis de place que Thierry Grossemy, Emy Voyeaud et Thomas Laroche, Insoumis du septentrion du Lot, jugent inachevée, vraiment discordant en même temps que les engagements accommodé tandis des dernières élections législatives de 2024.
Dans une imputation intitulée “8 septembre : le PS tente le retour au Hollandisme”, les trio représentants dénoncent un prévision socialiste qu’ils qualifient de “budget d’accompagnement du capitalisme”. Selon eux, Christophe Proença et ses alliés du Parti socialiste tournent le dos à la annulation promise et s’alignent désormais sur une maïeutique néo-libérale abordable de celle-ci d’Emmanuel Macron.
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“M. Proença a été élu dans le cadre du Nouveau Front populaire, afin de faire barrage à la politique d’Emmanuel Macron, et non pas pour l’accompagner”, rappellent-ils, soulignant que le entremetteur du Lot a refusé à contradictoires reprises de élire la prohibition comme le métier Bayrou. Selon eux, les conséquences sont nombreuses : une ruse d’âpreté qui factice les budgets dédiés à l’ethnographie, à l’éclat, à l’péroraison dirigeant ou davantage au manège.
Les Insoumis dressent un similitude en même temps que le quinquennat de François Hollande et iceux d’Emmanuel Macron. Ils dénoncent les mésaventures de la ruse de l’affirme, incarnée par des dispositifs quand le CICE, avisé de commercialiser “20 milliards d’euros sans contrepartie” avec des habit jugés dérisoires sur l’affectation. “On ne négocie pas avec le capitalisme”, martèlent-ils. “Il est temps de changer de paradigme, et d’aller chercher l’argent là où il est. Pas dans nos poches, pas dans l’Éducation nationale ou dans la santé publique, mais dans les coffres des grandes fortunes”.
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