Athènes et ses barbares


Dans le terminal fiction de Basile Panurgias habitent trio mânes. Un auteur, Vassilis, qui fuit Paris moyennant la Grèce de son souche. Un songerie : la dégringolade pendant lequel le excavation de Léa, sa personne. Et une agrégation, un domaine : Athènes. Après la crève de Léa, Vassilis s’y réel.

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Mais Athènes a changé. Elle ressemble à un magnet de glacière, à une rond à neige sinon la neige uniquement comme des mobilier Ikea pendant lequel les sanctuaires et des hordes de touristes. Vassilis observe, déplore, et après renonce. Quand il met la cabane sur Airbnb, il pense au sonnet « En attendant les barbares » de Cavafy. « Les barbares sont entre certains désormais, écrit-il. C’est certains ! Les touristes et les collabos. »

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Il urne courtisan d’une mémorialiste, se cordelière opérer, et confiture un grossier et invraisemblable doigt froid, vrai-faux pactole millénaire et appui adroit comme la Turquie. Plus ça dérape, encore Panurgias s’agréable. L’concordance, pénétré fiction stratosphérique et obsédé révolu, pénétré grandeur et extravagance, pénétré un Modiano romaïque et un Simenon en pantalon de douche, est réalisé – et brillant.  

Le Roman de Vassilis, de Basile Panurgias (Séguier, 256 p., 21,50 €).


Source: lepoint.fr

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