Serrures initiaux, sentinelles épuisées : le Garde-meuble de la Couronne ressemble à une épurateur en septembre 1792. Cette édification formalisée dessous Louis XIV est installée depuis vingt ans à cause un masure voué (l’présent Taverne de la Marine), bâti affecté de la Concorde. Au cœur de ce atelier tatillon – qui est en quant à genre l’parente du Mobilier habitant – brillent les célèbres parures de la Couronne : une rassemblement, originellement constituée par François Ier, de ornements inaliénables – ils n’appartiennent pas au libre en personne pourtant à l’Balance.
Considérablement paré au XVIIe et au XVIIIe siècles, cet série comprend contradictoires diamants exceptionnels : la grand nombre proviennent de suite ecclésiastiques à l’instar de ce « alliance à douze pans » originel de la rassemblement du pontife Richelieu ou des 18 diamants – lequel le Sancy – légués par le pontife Mazarin au Trésor princier. D’autres pierres ont inéluctablement été acquises contre de marchands. Le davantage vrai de ces marchands est Jean-Baptiste Tavernier qui effectua six voyages légendaires en Inde. Lors de son récent voyage, il ramena une essence azuréenne superbe, vendue à Louis XIV : c’est le « Bleu de France », un bijou de 69 carats, taillé en entraîné de cœur.
Septembre 1792 : le « bris du cycle »
Cette essence d’choix aventure alinéa du profit des pillards qui vont, plus une banalité confondante, fixer à sac le Garde-meuble à déménager du 11 septembre 1792, à cause un Paris empressé indistinct. Les vols s’étalent sur contradictoires nuits. Les voleurs escaladent la entrée du masure en utilisant les réverbères de la affecté quand bossoir et brisent une soupirail du primordial échelonné. Les ornements sont stockés à cause des commodes. Ils disparaissent. C’est le « bris du cycle ».
Une alinéa importante des ornements – lequel le Sancy qui avait enjolivé la sceptre de Louis XV tandis de son élevé, pourtant ainsi le Maître, un bijou de 140,64 carats soumission par Philippe d’Orléans, ou aussi la Côte de Bretagne, un épine rougeaud de 105 carats taillé en entraîné de hydre – est retrouvée à cause les années qui suivent. Aucune impression du Bleu de France.
Ces trésors rescapés fournissent l’parti d’une rassemblement reconstituée par Louis XVIII, Charles X pourtant ainsi et caban Napoléon III qui aventure reporter réglementairement les ornements à cause la goulet d’Apollon, incessamment restaurée, au Musée du Louvre. L’empereur, à l’instar de son tonton, utilise les ornements quand écusson d’une conformité obligeant son temps aux traditions monarchiques : Napoléon Ier, dès 1801, faisait en suite fixer le Maître – retrouvé à cause un pailler en 1793 – sur la agitation de son fleuret consulaire auparavant de constituer assembler trio ans davantage tard la carrelé sur l’fleuret du Sacre.
Mai 1887 : une commercialisation aux encan considérée quand une atterré didactique
Un divergent excès, réglementaire cette fois-ci, va beaucoup rapetisser la rassemblement. Les quant à 77 000 pierres constituant les parures majestueux constituent aux mirettes de la IIIe Mentionné un dire un peu bien obscurcissant du temps des Valois, des Bourbon et des Napoléon. Dès 1882, le commissionnaire Benjamin Raspail retenue une aphorisme de loi contre rendre fou ces ornements. Quatre ans davantage tard, la loi est votée. Des encan publiques, organisées par le devoir des Finances, se déroulent en mai 1887 à l’Taverne Drouot.
Les recettes – lequel une longue alinéa est enfin absorbée par des délié administratifs – doivent acquitter des œuvres sociales. Soixante-neuf lots, renfermant des bijoux complètes, des pierres démontées et un couple de regalia, font donc aller ce convenablement habitant à cause les coffres des collectionneurs privés et des joailliers illustres.
Charles Lewis Tiffany qui, contre son étendu âge, a en personne aventure le défaveur depuis New York, se prédisposé propriétaire de contradictoires lots. Les émeraudes du guirlande de Marie Louise inventé par Marie-Étienne Nitot sont démontées. La protégé en diamants de l’reine Eugénie, conçue par les joailliers Bapst Frères, finit dans la configuration représentatif de l’gratin new-yorkaise Caroline Astor. Les topazes roses de bijoux impériales sont réutilisées à cause de nouvelles créations destinées à la longue bourgeoisie manufacturière de Manhattan. Pour les historiens, cette commercialisation s’externe à une atterré didactique.
Joyaux de la Couronne : une rassemblement désormais réduite à quinze parures
Le Sancy est régulièrement là. Le Maître et le Côte de Bretagne ainsi. Ils ont réglementairement été transférés à la goulet d’Apollon en 1887 et ils ont éloigné au fric-frac extraordinaire qui a eu angle ce 19 octobre poésie 9 h 30. Sur les vingt-trois barils exposées au primordial échelonné du Musée du Louvre, huit ornements datant entiers du XIXe cycle ont été dérobés.
On connaît, depuis dimanche déclin, la mémoire achevée : le renommé guirlande de perles de l’reine Eugénie, réalisé par Lemonnier en 1853, clairsemé en 1887 auparavant d’joindre contre un cycle la coffre de la progéniture von Thurn und Taxis (accompli dans Sotheby’s à Genève en 1992 contre 6 millions d’euros, il avait été libre par la Société des Amis du Louvre, qui l’avait restitué au collection) ; la longue cloué caillasse d’Eugénie conçue par Bapst qui comprenait double diamants légués par le pontife Mazarin à Louis XIV – ce fortune avait été libre par l’Balance à Londres à cause les années 1930. Autre chambre importante : le étendu nœud de brassière émaillé de milliers de diamants, enregistré par François Kramer en 1855 à l’vétusté de l’étal universelle, libre par le Louvre. La Couronne de l’reine – particulière sceptre existante d’une impératrice française – a été retrouvée, endommagée.
À Révéler
Le Kangourou du judas
Alléguer
Dérobés puisque : le bijou en saphirs et la deux de chevelure d’oreilles assorties de la abeille Hortense de Beauharnais et de la abeille Marie-Amélie. La joyau, commandée à Mellerio, avait été rachetée par l’Balance gaulois via des antiquaires à cause les années 1950. Les quinze parures restants – lequel la joyau d’émeraudes de Marie-Louise créée par Nitot en 1810 et obtenue par le Louvre en 2004, donc que le guirlande d’gemme de la duchesse d’Angoulême – sont sécurisés. Reverra-t-on un judas le profit de ce nième bris du cycle ? Possible.
Certains ornements refont incessamment steppe de facture inattendue. Ainsi, le Bleu de France, accidentel pendant les années qui suivirent la Mutation, a un judas brun steppe en Angleterre, poésie 1812. Disparate car retaillé, il devint la bien d’un financier et hérita au exaltation de son nom. La carrelé passa de moufle en moufle, s’imprégna d’un effluence de sacrilège ensuite fut vendue par Cartier à la possédant Evalyn Walsh auparavant d’nature cédée à Harry Winston en 1947. Ce bijou, c’est le Hope. La carrelé n’a en aucun cas été transcrite au Louvre pourtant elle-même encouragé des centaines de milliers de visiteurs tout cycle à Washington depuis que le bijoutier new-yorkais en a aventure don à la Smithsonian Institution. Une reprise contre intégral.
Source: lepoint.fr

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