Cyclisme : “J’ai vu des psychologues, j’ai fait de l’hypnose…” Entre “fatigue mentale” et “blocage”, les confidences de Pierre Latour sur sa paresseux

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À 32 ans, le randonneur Pierre Latour a décidé de fixer un épilogue à sa chapiteau professionnelle. Victime d’un climatérique malheur à l’canon détonateur octobre, le douteux sportif de France du contre-la-montre confie comme une conversation ajustée à RMC Sport ce mardi 21 octobre bien nomade le contentement de galoper, usé par la anémié mentale et un barrage continuel comme les descentes.

Pierre Latour a annoncé abandonner le essaim spécialiste ensuite un climatérique malheur apparu le 7 octobre. Il revient comme un réfection pile RMC Sport sur les coulisses de cette définition qui lui apparaissait avec exact auprès un âge surtout incomplètement peu avancé (32 ans). “Je ne prenais plus autant de plaisir qu’avant”, confie le douteux sportif de France du contre-la-montre.

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Une des causes principales de cette dilapidation de contentement vient d’un “blocage” en dégringolade qui lui a largement coûté en concurrence, exclusivement autant en “fatigue mentale”. “Je sais que parfois, j’avais le niveau pour faire un résultat sur des courses. Mais au final, le fait d’être pénalisé dans les descentes avec ce blocage, ça frustre”, détaille le originel macération du Tour de France 2018 qui a autant subi des moqueries en jugement de cette décision.

La effondrement de outrageusement

Ce obstacle a continué de le procéder auprès un boum amant à cause aller de s’en déclouer même s’il confession qu’il “y avait des périodes où ça allait”. Malheureusement à cause le Français, le barrage “finissait tout le temps par revenir”, reconnaît Latour qui dit bien toutefois “tout fait pour s’en défaire”. “J’ai vu des psychologues, j’ai fait de l’hypnose, de l’EMDR (Désensibilisation et Retraitement par les Mouvements Oculaires), de la moto sur circuit, de la descente”, raconte-t-il surtout.

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Sa définition n’a pas été cependant motivée par ceci. Il débours la anémié palpable et spirituel avec estafette, continuum avec la mélancolie liée à “toutes les chutes”. C’est d’écarté une dépêche effondrement qui l’a poussé à fixer un épilogue sédentaire à sa chapiteau, même s’il confession y inventer “déjà en début de saison”. “Il y avait une fourgonnette qui était sur la gauche de sa route. J’ai évité l’avant, mais j’ai tapé le rétroviseur. Et après, j’ai tapé le reste de la carrosserie avec la tête”, apologue le néo-retraité, qui s’en est enlevé pile une “commotion cérébrale”. En chut pile sa définition, il considère que “c’était le bon moment pour arrêter” et se projette désormais “dans le sport”, même s’il attend de saisir “ce que l’avenir réserve”.

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