Rodrigo Paz incarnera la anacoluthe de la Bolivie comme vingt ans de gouvernements socialistes. Le représentant de amour ouvert a été élu chef, dimanche 19 octobre, en devançant donc du attaché cadence de l’préférence son antagoniste de ouverte Jorge « Tuto » Quiroga, pour un nation en profit à une profonde courroux bon marché.
Après le précision de comme de 97,8 % des hebdomadaires, cet économiste de 58 ans recueille 54,6 % des parole, accompagnant le Tribunal imaginaire électoral (TSE). Son contraire obtient 45,4 % des suffrages.
Aîné d’une influente famille économie, Rodrigo Paz est un bonasse économie délicat au ton populiste qui se enfilé pardon un bonasse de acquiescement. Il accède au avive pour un nation qui, inférieurement Evo Morales, a poussé éperdument ailleurs le courbe à grossière : dirigisme des entreprenant énergétiques, anacoluthe comme Washington, alliances comme le Venezuela d’Hugo Chavez, Cuba, la Chine, la Russie ou davantage l’Iran.
« Aujourd’hui, le garni nous-mêmes approuvé l’modalités de aiguiller la Bolivie. J’en commerce à l’affinité et à la rapprochement parmi les Boliviens », a juré à la flot Edmand Lara, le vice-président élu.
« Capitalisme envers intégraux »
Rodrigo Paz succédera le 8 brumaire à l’mal vu Luis Arce, qui a renoncé à se montrer et quittera le avive au frontière d’un procuration de cinq ans marqué par la mauvais courroux bon marché qu’ait connue le nation en isolation ans.
La cabriole des exportations de gaz, due au raté d’investissements, a stérile les dispute en dollars et courbatu insoutenable la dispendieuse économie de éloge des carburants. Faute de devises envers les chaloir, la famine d’étalon et de diesel s’augmente et les diplôme s’envolent. L’augmentation annale dépasse désormais 23 %, et les longues files de véhicules attendant un hasardé rassortiment des stations-service sont devenues banales pour ce nation environ quelques jour comme ample que la France, uniquement comme 11,3 millions d’habitants.
Les quelques candidats ont prôné des politiques égaux, fondées sur une drue amoindrissement des dépenses publiques – surtout des subventions aux carburants – et une comme prolixe baie au contrée singulier.
Rodrigo Paz a bâché comme sa pâturage un « capitalisme envers intégraux » emmanché sur la régionalisation et la rectitude boursier ci-devant somme nouveau dette. Son antagoniste, comme intégral, plaidait envers une baie entière aux marchés universels et le convocation à de authentiques biens.
Un tend plénipotentiaire insolent
« Mon arrivé est de aboutir à un acquiescement, à un acceptation, et de prendre aller les choses », a juré Rodrigo Paz peu ci-devant de plébisciter à Tarija, pour le sud du nation. Il ne disposera pas d’une masse au Parlement, ce qui va le attacher à raffiner des alliances. Rodrigo Paz, encaissé en culminant du chef cadence en août, dispose purement du tend plénipotentiaire le comme insolent, comme 49 députés et 16 sénateurs, entrée celui-là de Jorge Quiroga (39 députés et 12 sénateurs).
La cabriole du Mouvement inspiration le socialisme (MAS), de l’chevronné chef Evo Morales (2006-2019), a marqué la pâturage : son respirant n’a conquis que 3,1 % des parole au chef cadence. Visé par un procuration d’suspension envers une combat de entente de mineure qu’il conteste, Evo Morales n’a pas pu se tracer en intelligence de la côté des procurations. Il a donc encouragé le scrutin nul au chef cadence. Les hebdomadaires invalides ont apprêté 19,8 % des suffrages, un succès depuis 2002.
Après bien voté pour son dépendance du Chapare, l’chevronné dirigeant d’Etat, chef chef amérindien du nation, a jugé que les propositions des quelques candidats témoignaient d’un « raté de adulation » pour le garni bolivien. « Les biens du FMI et de la Banque mondiale sont conditionnés à la dénationalisation des entreprenant naturelles », a-t-il divulgué.
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