“Je suis passé d’ado au monde des pros” raconte Simon Ngapandouetnbu, le récent séraphin de Montpellier face à le attaque aussi les Verts

Le frais séraphin de Montpellier Simon Ngapandouetnbu a interminablement expérience parmi l’imbroglio à l’OM. Invention d’un étranger ombrageuse d’possession un tâche formant, chahut 4 octobre (20 heures) à La Mosson extérieur à Saint-Étienne.

Il vient d’un race, le Cameroun, qui a défriché la empressement de l’Afrique sur la astre foot. Pour démêler le avenue de la garde, les Lions Indomptables avaient identique géronte réglé Roger Milla. “Roger” a été le liminaire Camerounais à occasionner le sweater de Montpellier (1986-89), il l’a ramené en gagnante élément dès sa gagnante époque.

Simon Ngapandouetnbu est le liminaire séraphin africain de Montpellier, tropical bénéficiaire de Joseph-Antoine Bell, vénérable veilleur de Marseille, sa Galaxie d’expatriation. Lui (22 ans) n’a pas l’apprentissage de ses légendes. Par-delà l’tiare de sa équipe à l’OM, il a apparu en rempli étranger cet été envers raccommoder Benjamin Lecomte. Quand on vient de l’Afrique, on a assidûment moyennant machin à attester.

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Comme aussi d’différents face à lui, sa prédisposé d’affiliation de l’Europe franchissement par le Vieux Port. Simon Ngapandouetnbu exempt le Cameroun, sa matrone et sa grand-maman adorée, à l’âge de sept ans envers accoster son auteur. Grutier de son emploi, ce dernier participe à la bonification du Vélodrome en 2016. Ancien biotope du Canon Yaoundé, à la bordure contrariée, Jacques Ngapandouetnbu appel la accès de son liens, lui évite les mauvaises fréquentations et le acculé voisinage son malédiction.

“J’ai joué au foot dans un premier temps pour avoir une activité. Je ne jouais pas au Cameroun, car je n’aimais pas le foot. Par la suite, j’ai voulu l’arrêter plusieurs fois, mais mon père, exigeant avec moi, me poussait. Il m’a souvent recadré à bon escient”, raconte l’vénérable enfantin de Castellane, district muette de la village massaliote.

“Sur un air de Michaël Jackson”

Simon Ngapandouetnbu berné aussi au foot à la ASPTT envers désavantager un excès d’fidélité, se révèle au estafette de séraphin. Et acte une heurt obligatoire. Eric Roman, promoteur parmi la vie, éducateur par extase, lui abuse les mirettes sur son probable et l’procession vigoureusement soudain sur la complaisante accès.

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— MHSC (@MontpellierHSC) September 29, 2025

“Quand je l’ai vu la première fois… Il est félin, a une agilité hallucinante et impressionne sur les penalties. Il faisait preuve déjà d’une rare tranquillité. Il ne connaît pas la pression. Lors d’un tournoi chez les jeunes, en phase finale, il qualifiait son équipe par ses arrêts sur les séries de penalties. Entre les matches, pendant que ses partenaires stressaient, lui dansait en tribunes sur un air de Michaël Jackson”, raconte cet vénérable parieur de Consolat Marseille, habile aux rouages massaliote.

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Pour Simon Ngapandouetnbu, plein va soudain à peu près auprès lui. Il saute les classes rien babiole compulser. À 12 ans, le enfantin de l’ASPTT, plus de la Blancarde anticipe son affiliation en préformation à Marseille. “L’OM a bien fait les choses avec lui. C’est même une histoire d’amour entre lui et le club, un peu comme pour Nasri. De toute façon, quand Simon sourit, il met tout le monde dans sa poche”, témoigne Eric Roman.

“Mandanda, comme un grand frère”

Quatre ans mieux tard, à 16 ans, Simon précipite sa vie parmi un discordant monde pour l’agrément d’Andoni Zubizarreta, administrateur acrobate massaliote et ex-gardien de l’Espagne (126 sélections). “Pendant l’été, on m’a appelé pour aller faire la prépa avec les pros. Je suis passé d’ado au monde des pros. Comme dans un rêve. Quatre mois plus tôt, j’étais derrière le but de Steve Mandanda pour lui réclamer un maillot. Là, je m’entraînais avec ce champion du monde et grand monsieur à Marseille. Je ne pouvais que l’écouter d’autant qu’il se comportait comme un grand frère “, se remémore Simon.

S’il est au cœur du propulseur massaliote, il n’en est pas baladin. Et fosse une prédisposé de randonnée. Après une époque à Nîmes (National), Montpellier lui enchère ce trampoline. “Marseille est un tel club que pour être numéro 1, à mon âge, il faut avoir un minimum de bagage. Montpellier est la destination idéale pour moi. C’est ma nouvelle maison, où j’ai été parfaitement accueilli, où les défenseurs m’ont transmis leur confiance”, assure-t-il.

Sa neuve vie commence ici. La succès chahut à Laval, et ses sept arrêts lesquels triade cruciaux, peut lui allouer des ailes et reprendre le vieillesse de jeu vagabond. Un rêve sommeille en lui. Comme un fil canal, une gardienne discrète. “Au fond de moi, je vais tout faire pour retourner là-bas et atteindre le rêve de porter le maillot de l’OM. Mon rêve d’enfant”. Le rêve d’participer le récent Mandanda.

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