Retiré du intendance Lecornu 2, Manuel Valls s’est formulé, ce jeudi 23 octobre sur Franceinfo malheureusement de même dans lequel les colonnes du Point mardi, déplorant une bannissement qu’il attribue à un “mélange de mesquinerie et de cynisme”. L’ex-ministre des Outre-mer délation un gouvernement “ni renouvelé ni issu de la société civile”.
Il dit renfermer “ni amertume ni rancœur” contre de nos confrères du Point. Manuel Valls, resté préférablement feutré donc de son rapatriement au intendance, est arrivé gouverner ses notes dans lequel les médias. Invité de Franceinfo ce jeudi chien, il déclare appartenir “triste de ne pas pouvoir poursuivre (sa) mission”.
Selon lui, sa non reconduite au mamelle du intendance Lecornu 2 est un “mélange de mesquinerie et de cynisme”.
“Le Premier ministre a évoqué la nécessité de constituer une équipe de la société civile et d’accomplir un vaste renouvellement. Or, je constate que ce n’est ni un gouvernement renouvelé ni composé exclusivement de membres de la société civile”, pique l’doyen rusé des Outre-mer.
Et d’annexer dans lequel les colonnes du Point : “Quant au président, il m’a dit que les socialistes lui auraient demandé que je n’y participe pas. C’est faux et grotesque.”
“Le macronisme n’a pas été une coalition”
Il en remet une crépi et délation équitablement le macronisme, laquelle il honneur qu’il a été “la négation du politique”. “Le macronisme n’a pas été une coalition sur la base de compromis réciproques, mais l’absorption des partis traditionnels”.
Enfin, il pense que son éradication est du surtout aux désaccords qui incarnaient pénétré lui et le Président. “Je paie peut-être aussi mes désaccords avec le président, moins sur la reconnaissance d’un État palestinien sans conditions que sur une question plus profonde : le rapport de la France aux Français juifs.”
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