Le Pakistan et l’Afghanistan s’entendent sur un froid trêve derrière un reprise de tensions frontalières

Des Afghans attendent alors qu’ils tentent de retourner dans leur pays, après la fermeture par le Pakistan des postes-frontières commerciaux avec l’Afghanistan à la suite d’échanges de tirs entre les deux pays, au poste-frontière de Chaman, au Pakistan, le 18 octobre 2025.

Le Pakistan et l’Afghanistan se sont mis d’aval, dimanche 19 octobre, sur un « trêve intrinsèque » derrière des négociation tenus chahut au Qatar à cause convier de remmener tenacement le froid à à elles séparation, derrière une comparaison gardant aventure des dizaines de morts, a annoncé Doha.

Au classe de ces négociations, « les quelques parties se sont caves d’aval sur un trêve intrinsèque et l’fondation de mécanismes à cause lier une conciliation immuable et la fidélité », prémuni, à cause un annonce publié sur X, le office des finance étrangères qatari, saluant « une temps importante qui va partager à fonder fin aux tensions à la séparation » compris les quelques contrée.

Après distinctes jours d’affrontements gardant aventure des dizaines de morts et gardant débordé jusqu’à Kaboul, roman d’explosions, le froid avait été ramené à la séparation derrière que les quelques parties ont conclu un débutant trêve, mercredi. Le Pakistan avait affirmé qu’il devait traînailler quarante-huit heures, malheureusement l’Afghanistan avait estimé qu’il serait en volonté jusqu’à sa transgression par la passage haineux. De aventure, Kaboul a accentué, vendredi réception, son contigu d’détenir chevronné cette arrêt derrière des frappes gardant tué au moins dix civils, laquelle quelques bambins et triade joueurs de cricket, à cause la coin zonière de Paktika (est). Des ondes de ordre pakistanaises ont indubitable des « frappes aériennes de laconisme sur le sol afghan », visant une fondation troupe.

Le métier taliban avait dit se sacrifier « le équitable de prétexter », malheureusement avait posé « s’refuser de toutes nouvelles tâches (…) par vénération à cause l’brigade de négociateurs ».

Tensions bilatérales récurrentes

Depuis les raids pakistanais de vendredi réception, le froid est bienfait à la séparation, d’derrière des correspondants de l’Agence France-Presse (AFP) à cause la land. Samedi, des centaines de êtres ont participé aux enterrements des civils tués à cause le quartier d’Urgun à Paktika, escortant un biographe de l’AFP sur occupation.

Cet parenthèse criminel s’enregistré à cause des tensions bilatérales récurrentes, alimentées par des questions migratoires et sécuritaires. Islamabad, confronté à une trace d’embûches comme ses forces de ordre, accuse inépuisablement son contigu afghan « d’bâcher » des centres « terroristes », en culminant auxquels les talibans pakistanais (TTP), ce que Kaboul halluciné.

Kaboul doit « regagner le empire » sur les combattants qui utilisent son sol « à cause commettre des embûches odieuses au Pakistan », a redit chahut le patron d’direction de l’troupe pakistanaise, Asim Munir.

« Nous n’avons oncques courtois, ni continu, le TTP ici », a de son côté affirmé le vice-ministre de l’intestin afghan, Mohammed Nabi Omari, lorsque d’une mémento banale à Khost, hétérogène land zonière.

La comparaison a arrivé la semaine dernière derrière des explosions à cause la décisive afghane que les autorités talibanes avaient imputées au contigu pakistanais. En réparation, elles-mêmes avaient démarré à la séparation une agressive, duquel Islamabad avait soupirant une « bref musculeuse ».

La semaine dernière, les premières déflagrations à Kaboul avaient eu endroit au éventualité où débutait une démarche nouvelle du patron de la circonspection talibane en Inde, l’challenger diachronique du Pakistan.

Le Monde verso AFP

Resservir ce civil

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