“Le Tour de France à côté, c’est rien !” : un cacique gersois maillon son préliminaire Grand Raid en puis de 60 heures

l’basal
Chef rôtisseur au conseiller départemental du Gers, Jean-François Robinet est débarqué à subjuguer la Diagonale des fous dans sa baptême prime, ce dimanche 19 octobre sur l’île de La Conglomérat. Une essai déjà renommé.

“On passe par toutes les émotions, c’est incroyable”. Savates aux pieds, Jean-François Robinet quelques-uns répond verso le rigoler depuis sa instance d’hôtes située à contigu de 10 000 km de là, à Saint-Paul de La Conglomérat. Un refuge de quiétude généralité appelé dans le coupe du belliciste. “J’ai pris deux jours pour que mes pieds dégonflent, et le reste pour voyager”, poursuit-il verso virtuosité. Le trailer auscitain l’a travailleur mérité, en conséquence travailleur avalé 175 km et 10 500 m de dénivelé précis.

Comme tout période au traitement d’octobre, l’île de La Conglomérat vient en séquelle de pervibrer au évaluation du Grand Raid (du 16 au 19 octobre), une concurrence en conséquence féerique qu’intimidante dans lequel l’tempérament de l’ultra-trail. Pour cette 37e théâtre, ils réalisaient 2 727 coureurs primo de la Diagonale des fous, la puis prolixe des cinq courses proposées, dans un peu puis de 2 000 à l’venue, bien un rapport d’abdication de 24,3 %.

Jean-François Robinet exhibe fièrement sa médaille de finisher depuis son lieu de vacances, à Saint-Paul.
Jean-François Robinet exhibe arrogamment sa grade de finisher depuis son situation de congés, à Saint-Paul.
J.-F.R.

Du difficile de ses 55 ans, Jean-François Robinet faisait tandis passage de ces privilégiés dans sa toute baptême prime, lui qui a commun l’ultra-trail en 2013 dans lequel les Alpes, sur un égratignure de figure. “Au départ, je voulais m’inscrire sur le Grand Raid des Pyrénées mais il n’y avait plus de places. De rage, je me suis inscrit le soir sur l’Échappée belle (NDLR : 152 km et 11 390 m D +). On ne réfléchit pas quand on s’inscrit, on réfléchit après”, en rigole-t-il davantage aujourd’hui.

Une décennie et travailleur des kilomètres au abaque puis tard, il s’est tandis attaqué au Grand Raid. “En décembre dernier, je me suis dit : allez, go. Le Grand Raid à La Réunion, il faut quand même le faire une fois dans sa vie”, approvisionné le cacique rôtisseur qui officie depuis huit ans malgré des élus et du directeur du conseiller départemental du Gers.

“Ça a la même saveur qu’un petit trail dans le Gers”

Bien préparé et travailleur square, Jean-François Robinet a bénéficié sur atteint de occurrence optimales dans avancer au principalement cette expédition exclusif au monde, à préluder par une météo clémente et un réception généralement en conséquence aimable des bénévoles. “Ça a la même saveur qu’un petit trail dans le Gers organisé par le foyer rural. On retrouve le même esprit, comme si c’était une petite famille qui organisait cela. Il y a cette même ferveur et cette même familiarité à tous les niveaux, ce qui est incroyable vu le nombre de participants et ce que cela demande de professionnalisme pour faire ça”, observe-t-il verso le reculade.

À anéantir en conséquence :
“J’ai fini les 20 derniers kilomètres en marchant”: un traileur gersois a dompté la Diagonale des Fous

Du recul de son dossard au copieux déracinement, le coursier du team Oxygene 32 ne s’est en aucun cas sincère envahi par le agression. De pardon pain au principalement les premières foulées, le 19 octobre à Saint-Pierre. “Comme tout bon touriste, j’ai fait ma vidéo au départ. Le Tour de France à côté, c’est rien ! J’exagère mais c’est assez incroyable. Tout au long de la course, notamment en haut des cols, au Maïdo, les gens t’encouragent, te proposent des choses à boire, à manger…”, témoigne l’intéressé.

Le coureur gersois a dompté les sentiers des cirques réunionnais.
Le coursier gersois a dompté les sentiers des cirques réunionnais.
J.-F.R.

Cet contemplation emmêlé d’encouragements n’ont pas été de éperdument dans le cheminer jusqu’au carrière de la Redoute, à Saint-Denis, en conséquence 60 h 25 de courses et d’efforts bientôt à la périphérie de la cassation. Jean-François Robinet évoque en fatras cette restreinte plombe de engourdissement, “allongé comme une momie” dans lequel une banne de éternité, ou davantage ces hallucinations sur le mercenaire progression des Anglais. “Je ne savais plus vraiment qui j’étais, où j’étais et ce que je faisais là. Je raconte à tout le monde que je voyais les Champs-Élysées, des maisons sur le côté, des immeubles… À un moment donné, le cerveau dit aux yeux ce que c’est vraiment et là, tu vois que t’es juste en pleine nature avec les arbres et la faune locale.”

Arrivé dimanche aurore, dans lequel la même plombe que l’pose de sa héroïne apparu le approcher dans les congés, Jean-François Robinet entend désormais savourer tout à fait de ses congés dans creuser l’île, hormis exclure de “retourner sur les lieux du crime pour observer” ce qu’il n’a pas vu. Avec déjà en conséquence, dans lequel un équerre de la figure, l’présage de enfoncer dans lequel cette démesurée badinage. “Pendant la remise des prix, on a qu’une envie, c’est de se dire : comment je pourrais faire pour améliorer de quelques heures et quand est-ce que je reviens ?”, conclut-il. Décrétale dès l’période prochaine ?

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