Lecornu 2 : Wauquiez commerce Les Républicains à “retrouver de l’apaisement” ultérieurement les menaces d’congédiement

Paris – Le idéal des députés Les Républicains Laurent Wauquiez a indispensable mardi son défaillant à «regagner de l’tranquillité» et à «ne pas écarter total le monde», à la insomnie d’une rattachement des instances qui doit secouer sur l’congédiement des ministres LR entrés au direction Lecornu 2.

“Ça suffit. Il faut qu’on retrouve de l’apaisement. On ne va pas se mettre à exclure tout le monde», a déclaré le député de Haute-Loire sur BFMTV.

LR doit réunir mercredi en fin d’après-midi un bureau politique pour statuer sur le cas des six ministres LR ayant bravé la décision du parti de ne pas participer au gouvernement actuel: Annie Genevard (Agriculture), Rachida Dati (Culture), Vincent Jeanbrun (Logement), Philippe Tabarot (Transports), Sébastien Martin (Industrie) et Nicolas Forissier (Commerce extérieur et attractivité).

Le secrétaire général des Républicains, Othman Nasrou, leur a adressé une lettre, consultée par l’AFP, leur demandant de «faire parvenir (leurs) observations» sur leur décision de participation au gouvernement avant mercredi midi.

Mais la conduite à tenir divise en interne. Le président du Sénat Gérard Larcher s’est dit par exemple favorable à un report de l’exclusion, «une bonne position», selon M. Wauquiez pour qui «il faut tourner la page et se concentrer sur l’avenir».

Car le parti a étalé ses divisions durant les récents épisodes de chaos gouvernemental: si le patron du parti Bruno Retailleau a défendu une ligne prônant de ne pas entrer au gouvernement – faisant voler en éclats la coalition au pouvoir – les députés de son parti étaient eux favorables à une participation.

La décision de M. Retailleau de contester la composition du gouvernement Lecornu 1, prise «sur un tweet, sans nous en parler», «bien sûr que ça a été difficile», a glissé M. Wauquiez

“Ça a été quinze jours catastrophiques, j’en ai entièrement coeur», a cédé le délégué de Haute-Loire, soulignant la «exceptionnellement bestiale effigie volontaire par la franche».

«C’voyait la mauvais effigie de la économie, c’est-à-dire la popote, les parages, les postes», a-t-il insisté.

© Agence France-Presse

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