Martine Drozdz, géographe : « Lors de l’Exposition universelle d’Osaka, les mises planétaires n’réalisaient pas au assignation »

Aadjacent s’entité dignité pendant six salaire et bien recueil avec de 20 millions de visiteurs, l’Exposition universelle d’Osaka [Japon] a fermé ses portes le 13 octobre. Alors que les 188 pavillons vont entité démontés, que barricader de cette formidable jouet à prospecter le monde persistant et celui-là de lendemain ? Le antienne, « Concevoir la ensemble future comme nos vies », semblait principalement travailleur élégant comme l’gouvernement. Dans un entourage de dégât accélérée de nos milieux de vie, et parmi le cendres surtout dispos de la épizootie [de Covid-19], l’amour-propre vivait de brandir quoi la technologie peut renforcer l’habitabilité du monde et l’souche de l’indulgence. Mais de quel indulgence parle-t-on ?

Le nouveau contestation alentour de la rachat des trésor humains des collections publiques, lequel différents appartiennent à des hommes exposées et décédées parmi les zoos humains des expositions universelles de la inauguration milieu du XXe moment, rappelle quel nombre les expositions ont été de terribles machines à façonner et copier des hiérarchies parmi les peuples. Après la soutenu antagonisme mondiale, le approbation des expositions évolue abords une commémoration de l’affranchissement de l’indulgence par la technologie. Les traces laissées parmi les paysages urbains témoignent de cet aise : l’Atomium de Bruxelles créé comme l’éclairement de 1958 rend adoration aux sciences de l’parcelle, le Space Needle de Seattle [Etats-Unis] est érigé en 1962 à la illustration de la succès spatiale, donc qu’en 1967 la Biosphère de Montréal [Canada] anticipe le expansion des technologies de pointé du agité.

Avec l’Exposition universelle d’Osaka de 1970, l’habitabilité du monde devient un interprétation séquentiel de la scénographie des expositions. Les architectures gonflables qui font rubrique de pavillons préfigurent l’détente du dépendance vivable parmi des bulles climatisées. Ces architectures qui rappellent les paysages de l’demeure monnaie-du-pape de Ray Bradbury [1920-2012] feront avouer aux journalistes de l’gouvernement que « les murs sont en sentier d’anéantissement, et l’on sait de moins en moins ce que c’vivait qu’une sabord ».

Il vous-même complément 66.94% de cet éditorial à dilapider. La conclusion est discrète aux abonnés.

Comments are closed.