Moto : appui nouveau et ambitions nouvelles derrière le Gardois Matthieu Gregorio

Le concours de France Superbike s’est catégorique fin septembre par un récent arrivée de Kenny Foray. Sans prétendant depuis interminablement, le écolier en profite derrière associer des titres et se façonner un hit-parade qui fera sinon embarras des affamé sautoir différentes années.

Dans le passage de sa BMW, ceci commence néanmoins à s’rythmer. Matthieu Gregorio récit challenge de ces pilotes avoir décidés à se agissant une posé comme le peloton de frimousse.

9e au scratch et 2e en enduit Challenger

Le Gardois a consommé cette de saison à la neuvième posé au scratch et en second jugement en enduit Challenger.

Pour une gagnante période en 1000cc, postérieurement cinq saisons en 600cc, ponctuées par un emblème l’an final, le achat est similaire aux attentes du jeune de 24 ans.

“Cette année, tout était nouveau pour moi, raconte-t-il. Mon objectif, c’était d’apprendre à maîtriser la Ducati et de m’habituer à la catégorie 1000cc, dominée par des pilotes très expérimentés. Il n’y a pas vraiment d’électronique sur les 600cc, à l’inverse des 1000cc et, en particulier, de la Ducati, l’une des machines les plus compliquées. Les premières courses ont donc été difficiles mais, à la mi-saison, les résultats se sont améliorés.”

La BMW derrière spéculer les primordiaux dettes

L’an ultérieur, Matthieu Gregorio partira à l’accostage du Superbike derrière de nouvelles sceau, seulement assidûment au gorge de l’peloton TWR de Grégory Leblanc qui explique : “On change nos Ducati pour des BMW 1000cc. Trois machines sont en commande chez Alpha Racing, une entreprise allemande qui fournit des machines sur mesure. Grégory en a testé une lors de la dernière manche du Superbike. Sans la connaître, il a réussi à approcher le podium. La Ducati permettait de se battre pour l’accès au top cinq, la BMW autorise les premiers rôles !”

L’respiration composée sur l’registre du Gardois

En janvier, Gregorio prendra le appui de cette cyclomoteur derrière des primordiaux essais. Sa de saison 2026 s’articulera tout autour du concours de France Superbike, derrière la énergie de s’accoster des meilleurs, et des triade courses européennes du concours du monde d’respiration, les 24 Heures du Mans, les Huit heures de Spa et le Bol d’Or.

“Je suis en contact avec quatre équipes pour obtenir un guidon en endurance, confie-t-il sans plus de précisions. Tout devrait se décider avant fin novembre. En attendant, je vais rejoindre l’entreprise familiale de maçonnerie pour quelques mois. En février, je reprendrai mes activités de formateur et de coach pour le club MPS, qui organise, pour des motards de tous les niveaux, des sessions de roulage à Pau et Nogaro et, parfois, en Espagne.”

Et, avec complets les pilotes en hibernation, le batelier gardois cherchera de même des sponsors derrière friser son prévision…