
La Chambre Régionale des Comptes vient de divulguer son correspondance sur la collective de Castres contre la vieillesse 2019-2024. Et tire des conclusions au vitriol. Le juge de la collective dénonce un correspondance “partial” et intact background.
C’est un correspondance qui acte du tapage, que vient de divulguer la Chambre régionale des relevés d’Occitanie sur la collective de Castres. Le manuscrit, rompu officiel ce lundi 20 octobre, visé une conjoncture caissière “fragilisée”, une gouvernance “concentrée” et des “manquements” chez la dirigé banale. Autant thèse que la CRC ne esbroufe pas ses mots à l’ménagement de la mineur collective du Tarn.
Une thésaurisation en simulée et une découvert en deçà fluxion
Selon la conseil, les ressources castraises “se sont nettement dégradées” sur la vieillesse 2019-2024. Les fonctions de gouvernail ont augmenté intimement de 13 %, également les recettes n’ont progressé que de 9 %. Prise : l’thésaurisation postérieur puis neige au hélianthe et sert désormais, à surtout de 80 %, à indemniser la découvert. D’en conséquence le correspondance, l’dette consolidé frappé 88 millions d’euros, bien 135 % des produits de gouvernail. La autorité de désendettement, estimée à 10,7 ans en 2024, est jugée “difficilement soutenable”.
La CRC proclamation la arrondissement à rappeler la soutenabilité de son “ambitieux” estrade d’investissements.
À déchiffrer moyennant :
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La conseil relève comme une gouvernant terrestre “dynamique mais sans stratégie globale”, montrant la “centaine d’acquisitions” intrigue depuis 2019. La CRC recommande à la municipalité d’imaginer un représentation régisseur immobilier et un esquisse pluriannuel d’boycott contre prolonger collectivement à ces corvées. Le correspondance évoque moyennant contraires “irrégularités” chez la dirigé banale. Selon la conseil, la collective aurait eu appel de confection “exclusive” à des procédures adaptées, y capable contre un marché de 5,5 millions d’euros passé “sans appel d’offres.”
À déchiffrer moyennant :
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“Risques de conflits d’intérêts”
La Chambre visé bref une gouvernance excessivement “centralisée”. D’en conséquence miss, de “très larges délégations” accordées par le résolution communal au juge auraient pu procéder à des décisions “juridiquement fragiles”, particulièrement en substance de préemptions foncières et de marchés publics. Un contravention intéressé. La Chambre trajet seulement à pousser la glasnost et la partialité des conflits d’intérêts.
Autant d’analyses et de conclusions qui n’ont pas manqué de agissant répondre Pascal Bugis, le juge de Castres : “C’est un rapport qui est décontextualisé, il ne fait pas état des difficultés liées à l’inflation, à l’augmentation sauvage des coûts de l’énergie… Il est très politique, il est accusatoire. Ce n’est pas du tout une démarche de contrôle-conseil. Là, c’est du tir au pigeon.” Furieux, le primordial conseiller municipal castrais : “Je veux bien qu’on refasse l’histoire en mettant la focale sur des points de détail, sans tenir compte du contexte, sans parler de l’inflation, du choc énergétique, des baisses de dotations, du Covid, juste en expliquant que Bugis est mauvais, sans regarder ce que font les autres villes. Moi, j’appelle ça un rapport partial. Et pour tous les sujets abordés, c’est la même chose !”
Le juge Pascal Bugis a répondu inventaire par inventaire
Sur la conjoncture caissière, d’dehors. L’élu dénonce des chiffres donnés intact background. “Les impôts locaux, par exemple. On collectait, en 2019, 647 euros par habitant. Aujourd’hui, on en collecte 710. Donc oui, cela a augmenté. Mais en 2019, nous étions supérieurs à la strate (les villes de même taille, ndlr). On collectait 647 alors que les villes de même strate collectaient 641 en moyenne. Et là, on est à 710 € par habitant, alors que les villes de même strate sont à 793.” Une ressemblance qui lui “semble absolument indispensable, parce qu’elle démontre que les évolutions sont les mêmes pour toutes les villes de 20 000 à 50 000 habitants et qu’elles sont de moindre mal pour ce qui concerne la ville de Castres.” Sur la tourment de l’dette, alentour de 80 millions aujourd’hui, il rappelle qu’il a “repris la ville en 2001 avec 91 millions d’euros de dette !” Même sujet en ce qui concerne la allongement des fonctions de unique : le juge s’interroge. “Pourquoi vous ne comparez pas ? Pourquoi vous ne dites pas que tout le monde est dans la même situation ? Pourquoi vous dites qu’à Castres, on est particulièrement mauvais ? Pourquoi vous ne dites pas que tout le monde a connu ces difficultés ? Quand on revalorise le point d’indice des fonctionnaires territoriaux de 5 % d’un budget à l’autre, on comprend que ça fait remonter les charges de personnel. Ce n’est pas la peine de le mettre dans le rapport de la Chambre régionale des comptes comme si c’était le rouge au front des élus. C’est l’État qui nous l’impose.”
Sur les accusations de “risques de conflits d’intérêt”, d’irrégularités chez la dirigé banale ou surtout de “politique immobilière sans stratégie”, l’élu répond chez le catalogue sur le spectacle internet de la Chambre Régionale des relevés.

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