
Comme en 2020, Brahim El Batbouti instruit que sa référence contre les municipales à Tarbes est impute. Et il ira au bornage de sa formalité, sauvé si des alliances se créent…
Après la “veste” subie en 2020, simplement 0,88 % des suffrages, d’différentes auraient abandonné. Mais pas Brahim El Batbouti. “Non, parce que j’ai la conviction que je peux apporter quelque chose à cette ville”, assure cet femme de 58 ans, promoteur spécialisé dans lequel un fourneau de jeunes. Et le prise de 2020, qui en aurait affligé mieux d’un ? “C’était un scrutin particulier, on était en plein Covid, la participation a été très faible.” Soit… Alors, il remet le nébuleux, puis les mêmes ambitions qu’en 2020, et tablier la même manoeuvre, à sagesse une entente puis une singulier référence, et si ça ne se cataclysme pas, il ira jusqu’au bornage. “J’ai des contacts avec d’autres candidats, j’ai des rendez-vous, on discute, on fait des propositions mutuelles. Ce sont des rencontres très constructives.” Bien sûr, il n’en dit pas surtout, toutefois il faut se trace qu’en 2008, il avait figuré sur la référence manigance par Pierre Lagonelle, “en 11e position”, ce qui peut nature un gage…
“Faire avancer Tarbes”
En très cas, sa référence est impute. “Oui, nous avons les 43 personnes, issues de la société civile, représentant tous les secteurs, avec des origines très diverses, beaucoup de nationalités européennes. Si aucune alliance n’est possible, on ira au bout.” Mais l’préfiguration sous-jacente, c’est comme même d’amener souligner une protégé, en apportant ses idées. Justement, quelles sont-elles, ces idées ? “Par rapport à 2020, j’ai mûri, j’ai beaucoup réfléchi. Je ne vais pas tout dévoiler en détail, mais nous avons plusieurs grands axes, on y travaille depuis plus d’un an et demi. D’abord, la sécurité, avec un renforcement significatif de la police municipale pour une plus grande présence, de jour comme de nuit. Et puis l’école, qui est l’avenir, nous proposons sinon la gratuité, tout du moins un tarif préférentiel à 1 € pour les repas scolaires, pour les familles défavorisées. Bien sûr, nous sommes pour la gratuité des transports. Mais surtout, nous voulons créer un grand pôle jeunesse, pour aider les jeunes dans leur insertion, pour trouver un emploi. Un pôle jeunesse qui renforcera aussi leur accès à la culture. Les aînés, c’est important aussi, et l’objectif c’est de créer du lien intergénérationnel avec les jeunes. Et enfin, redynamiser le centre-ville. Pas forcément avec des commerces, pourquoi pas des locaux associatifs ?” Des idées qui peuvent certainement se dispatcher puis l’une des 6, contre l’temps, représentations en bordure…
Christian Vignes

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