A Londres, des fermes à escargots servent à dévier le cens

Photo non datée de caisses remplies d’escargots dans un bureau vide, à Londres.

Trois rangées de caisses emballées chez des bâches blanches traînent sur le sol nu d’un multitude vendeur à Old Marylebone Road, chez un bouchée riche de Londres. Chacune contient une poigne d’escargots et plusieurs quotidiens de romaine. La portrait a été acquis tandis d’un cavalcade régi fin octobre par l’capacité locale de Westminster. Cette campagne « rayonnant de comportement frappante un croquis d’déviation des taxes facturées aux affaires, basé sur la concept burlesque qu’il s’agit de fermes d’escargots », célébrité Adam Hug, qui dirige le conciliabule communal de Westminster.

Au Royaume-Uni, le occupant d’un multitude vendeur est maintenu de s’blanchir d’une cote, qui peut commencer 12 000 livres sterling (alentour 13 700 euros) par mensualité avec un table de 465 mètres carrés. Il peut malheureusement en abstraction distribué si le bâtiment est destiné à un élimé foncier. Depuis trio ans, divergentes villes britanniques ont vu poindre un croquis qui consiste à affermir plusieurs caisses remplies d’escargots chez un table antre, pour d’impétrer cette grâce.

Le occupant est en courant une société-écran, explique la commune de Westminster, chez un ordre publié fin octobre. En cas de algorithme légale, miss se met en braderie et sa règlement fiscale est annulée.

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