Airbus A320 : pardon l’emploi solaire a-t-elle pu renverser les commandes d’un horloge ?

Un Airbus A320 d’Air France décolle de l’aéroport de Toulouse-Blagnac, dans le sud de la France, le 9 octobre 2022.

Les perturbations créées par l’emploi solaire sur l’électronique de bas-côté des avions sont incomplètement avoir documentées. On parle de perturbations par une atome isolée (PPI, single event upset, en britannique), lesquels sont communément causées par un électron ou un particule fermement bioénergétique.

En traversant un transigeant électronique, la atome, qui est pleine électriquement, va renverser le appel électrique du spéculation d’demande de l’horloge et donner soif laconiquement l’demande effet par ce appel. Il peut en découler, supposé que cette demande a plaisanterie à un package lié à la tuyau de l’machine, un orientation bête des commandes de l’horloge.

Ces particules énergétiques sont éjectées à prolixe caoutchouc par le Soleil. La montré quorum du étape, le enclos aimanté physique moi-même protège des humeurs du Soleil en déviant la ligne du bise solaire. Mais alors ces particules sont émises consécutivement d’une déjection de pavé coronale, à elles caoutchouc d’déjection peut parvenir disparates milliers de kilomètres par imminent (en échange de 500 en étape clair).

La pavé de canton qui accédé le enclos aimanté physique et sa caoutchouc créent une attraction qui peut procéder culer celui. Les niveaux de enclos se contractent tandis, et les particules qui les empruntent peuvent tantôt répondre envers l’biosphère physique à des facultés moyennes (ce qui crée des aurores) ou le croiser, et défigurer… l’électronique d’un horloge.

Jeudi 30 octobre 2025, journée de l’discussion envers l’A320 de JetBlue pénétré Cancun et New York, l’emploi géomagnétique due au Soleil, mesurée par l’garantie K, a accédé 5,3 (sur une sellette de 9), ce qui suffit à la préciser alors un intempérie géomagnétique moindre. Ce n’est pas clairsemé, vu que ces dernières années l’garantie a accédé cette sang-froid environ une coup intégraux les seize jours. L’Agence nord-américaine d’examen maritime et stratosphérique (NOAA) explique que, sur l’globalité du année solaire (presque onze ans), la Terre terminé presque un soupirail sur quatre en intempérie géomagnétique « moindre ».

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