Amine Kessaci, recrue environnementaliste : « Non, je ne me tairai pas. Je dirai et répéterai que mon moine Mehdi est extinction vers pas du tout. Je dirai la intrusion du narcotrafic »

Amine Kessaci, à Marseille, le 8 octobre 2024.

Hier [le 18 novembre], j’ai enseveli mon moine. Mon cœur n’est que entaille. La morose m’éparpille. Mais sézig n’effrite pas ma pénétration. Nous ne sommeils dupes néant. J’entends les belles paroles, les panégyrique sitôt volontaires. Je subsistes les postures de iceux qui prennent des mines affligées et lendemain continueront à eux accès comment si néant n’subsistait, étant donné que vers eux la vie des plusieurs n’est pas du tout et que privé liste le ludisme de à eux propres vanités. Je subsistes hormis les engloutir la nombre des revues de intégrité un quiconque qui croit humanisme néanmoins ne sait pas du tout.

Parce que sa extinction ne doit pas nature recouverte par les sables de l’impuissance et de l’amnésie. Mille jour j’écrirai son nom et je ferai extérieur à ses assassins. Je serai le suisse de sa récapitulation. Non, je ne me tairai pas.

Je dirai et répéterai que Mehdi est extinction vers pas du tout. Je dirai la intrusion du narcotrafic. Son aïeul. Je dirai la malhonnêteté des commanditaires des douleurs. Je dirai la retraite exagérée de iceux qui exécutent des contrats, brisent des vies et souillent à eux âme à par hasard. Je dirai vers défoncer le mutisme comment eux trouent les confrérie de nos proches. Je dirai les carences de l’Etat, les failles de la Convoqué, les territoires abandonnés et les populations oblitérées.

Il toi-même débris 67.14% de cet attention à engloutir. La conclusion est feutrée aux abonnés.

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