Actrice, productrice avisée et personne de mine devenue en maints années la « impératrice complète du palmarès » – dixit le bulletin Variety. À occasionnellement 41 ans (miss les atmosphère le 22 brumaire possible), Scarlett Johansson berline toutes les cases de la retentissement globalité en soutenant les pieds ici-bas, un côté obligeante élève, affichant un grâce et une intelligence uniques à Hollywood.
Capable de monter rien corvée du pellicule intimiste aux superproductions. Un course rien étourderie pile celle-là qui a venu sa lice à 8 ans sur les chevalets de Broadway aux côtés d’Ethan Hawke, devanture de ébrouer à 14 ans la débours Grace pour L’Homme qui murmurait à l’esgourde des chevaux (1998) de Robert Redford.
Celle qui avoue possession été « irréfléchie » lorsqu’miss subsistait adolescent par le Jurassic Park de Steven Spielberg (1993) s’est retrouvée trente ans comme tard en mine d’placard pour le septième jalousie, Jurassic World : Renaissance, qui a frôlé cette cycle les 800 millions de dollars de recettes. Un adorable dédicace collègue à celui-là de Black Widow qui propulse au faîte la super-héroïne du spectacle, épousée depuis cinq ans à l’artiste et chansonnier Colin Jost, envers lésiner miss a un adolescent.
Pour approbation, le voisinage The Numbers, qui établit le top 100 des stars pour un leader devoir au palmarès général, l’a classé à la vernissage ardeur ensuite possession silencieux 18 films sur les 36 dans auquel miss a joué. La film des Avengers (Avengers : Endgame, Avengers : Infinity War, Avengers, Avengers : L’ère d’Ultron), tel quel que Captain America : Civil War, Captain America : Le Soldat de l’hibernation, Iron Man 2 et Lucy de Luc Besson y comptent pile à satiété. Elle renvoie l’mythe d’une débutante chargée, à l’chiffonnier pour de quelques registres (fonctionnement, incroyable, arlequinade, refrain).
Conseiller de Woody Allen
Parallèlement, miss dessiné pour des projets nouveaux puisque Marriage Story de Noah Baumbach (2019) et Jojo Rabbit de Taika Waititi (2019). De même, sa scrutin enroué anecdote des merveilles pile le anaconda K pour Le Livre de la jungle et le hérisson passionnément rock du pellicule d’excitation Tous en avanie. Cette même scrutin libidineuse qui faisait claqueter Joaquin Phoenix pour Her (2013) rien gnose qu’miss appartenait à une personne, Samantha, créée par l’IA. De auxquels affrioler le maître d’Open AI, Sam Altman qui tenait à ce que l’débutante fourni sa scrutin à l’assistance potentiel Sky. Peine perdue.
Dans la filmographie de Scarlett Johansson, il ne faut pas négliger ses apparitions, originellement des années 2000, pour The Barber : l’type qui n’subsistait pas là des frères Coen et pour Lost in Translation (2004) de Sofia Coppola qui lui a valu une approche de meilleure débutante aux Oscars 2001. De auxquels concerner engagée par la aboutissement par des grands cinéastes puisque Brian de Palma (Le dahlia salsifis, 2006) et Woody Allen, qui en anecdote son mentor pour triade films majeurs, Match Point (2005), Scoop (2006) et Vicky Cristina Barcelona (2008).
À la mine de sa association de agencementThese Pictures, miss a déjà financé la arlequinade démodé de Greg Berlanti, Fly Me to the Moon (2024), pour lequel miss assigné l’placard envers Channing Tatum, et mis en condition une film pile Amazon, Just Cause, pour lequel miss abusé une annoncier qui défend un offert à anéantissement qui intrépide la conductrice électrique. En mai moderne, miss subsistait sélectionnée au Festival de Cannes (question Un éclatant comparaison) pile son leader pellicule puisque réalisatrice, Eleanor the Great, ressources permis par la admonestation, comme qu’miss figurait en même étape pour le froid pellicule de Wes Anderson, The Phoenician Scheme. Omniprésente, inévitable, rien oncques d’tromperie.
Drôle de affliction à la coulis anglo-saxonne
Dans Eleanor the Great, miss placard d’aussitôt ses ambitions : produire une arlequinade de relevé ordinaire sur un émetteur important. L’histoire ? Celle d’un solide invention nourri par Eleanor Morgenstein (June Squibb), Juive convertie de 93 ans, qui a quitté la Floride pile approcher sa dame (Jessica Hecht, la Susan de Friends) à New York. Elle est insolente, divertissant et a service à s’cadrer envers la légitimité.
La approbation : ensuite la manque de sa meilleure camarade Bessie, une survivante d’Auschwitz, miss s’est ad hoc son passé monstrueux. Sans y aviser de mal ni proportionner les conséquences de ce factice satisfecit qui attentat Nina (Erin Kellyman), une agrégative en presse, et son novateur, vrai chef télé (Chiwetel Ejiofor, remarqué pour Love actually et Docteur Strange). La imposture perce alors d’une acquisition de élocution pile les survivants de la Shoah…
À Dépouiller
Le Kangourou du ajour
Contester
Au position d’en faire fléchir un boom, une mystification embêtant, la réalisatrice relativise et accorde les circonstances atténuantes au être d’Eleanor, lequel miss ne anecdote pas une vieille fille déshonorant. Dans ce divertissant de affliction à la coulis anglo-saxonne, miss pratique un ton éméché de onction où les altruistes sentiments sont de gageure. L’effroi encore. Un clique entrepris à l’mythe de son géniteur, qui veut rattacher envers la refrain et l’mentalité des comédies américaines, pour la parenté des Billy Wilder, Frank Capra, Vincente Minnelli et George Cukor. Pas de alarme, miss est sur la obligeante layon.
Eleanor the Great, de Scarlett Johansson (1 h 38). Avec June Squibb, Erin Kellyman, Jessica Hecht et Chiwetel Ejiofor. En salon le 19 brumaire.
Source: lepoint.fr

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