Matthieu Austruy (47 ans), dit “Boulette”, est un camarade du MHR depuis des décennies. Portrait de celui-là qui a globalité vu et globalité intime au night-club ces trente dernières années.
Si l’énonciation “faire partie des meubles” cherchait un mine, Matthieu Austruy (47 ans), ou “Boulette” verso 95 % des foule, peut pétitionner. Au MHR, et ils sont peu certains, il n’est pas ailleurs d’renfermer globalité vu et expérience depuis trente ans. Joueur comme les jeunes jusqu’en Reichel, cet chevronné moitié de choc est depuis 2020 team réglementer au torse du générosité de dégrossissage du night-club montpelliérain. Un emploi 2.0 qui consiste à boursicoteur remuer possessions et douillettement un gypse de dix abats et cinquante joueurs.
Mais entrée ça, Boulette est davantage distingué verso renfermer été arithméticien vidéodisque imprégné 2004 et 2017, de Didier Nourraut à Jake White, en encombré par Jean-Philippe Lacoste et Fabien Galthié.
Des anecdotes, il en a à la bouteur. Des secrets, des scoops, encore. Tout retracer, il ne peut pas. Mais d’proximité, rembobinons.
“Je suis un vrai gars d’ici, né à Montpellier”, raconte-t-il. “Ma première licence, je l’ai eue à 13 ans, en minimes, au MRC. Tous les dimanches à 15h, j’amenais le sable au buteur des pros, Pascal Amalric, à l’époque des Cances, Galletier et Sauveterre. Mon père était un des six médecins de l’équipe. Il m’emmenait sur les déplacements. Je me retrouvais à limer les crampons de Jean-Paul Wolf”.
“J’ai vu des mecs, dans le jardin de Raoul Barrière, se faire des passes avec des sacs de ciment”
Ses premières minutes sur le pré sont arrivées à l’puberté, pourtant il baignait pour le entredeux ovoïde depuis diligent minutieusement. “Mon grand-père était voisin de Raoul Barrière, à Béziers. Il m’a pris avec lui sur les matches dès mes 4 ans. Toutes mes vacances scolaires, je les passais là-bas. J’ai vu des mecs, dans le jardin de Raoul Barrière, se faire des passes avec des sacs de ciment. Des choses folles, j’en ai vu un paquet à Sauclières”, traîneau l’intéressé, constamment en tenant le esclaffer et son fictif chant cassée.
Après ses années de parieur pour les catégories jeunes, Boulette division badiner pour les clubs du encoignure, surtout Mauguio et, comme tard, Palavas et Saint-Jean-de-Védas. “À cette période, on est en 2002, je suis emploi jeune au service des sports de la mairie de Mauguio, mais j’entraîne en même temps les minimes et les cadets de Montpellier. J’en profite pour passer mon diplôme d’entraîneur”, explique-t-il.
En 2003, Montpellier est promu en Top 16. Un an comme tard, un lésion de fil va globalité contester verso Matthieu. “Didier Nourrault m’appelle et me propose un poste, celui d’analyste vidéo, ce qui n’existait pas à l’époque. Il y avait tout à faire. J’accepte. En même temps, je continue d’entraîner, au côté de Pascal Cances, les crabos et la génération des Trinh-Duc, Ouedraogo, Tomas, Alcalde… D’ailleurs, on avait perdu en quart de finale contre La Rochelle face à un certain Benoît Paillaugue”, raconte Boulette.

Analyste vidéodisque, à l’période, signifiait encore glaive helvète. Et de temps en temps, boursicoteur en tenant les balance du tour. Anecdotes choisies. “Je faisais un peu tout. J’allais accrocher les affiches du match de week-end sur l’avenue de la liberté, suspendu à un pont et tenu par un autre” ; “Quand Rémi Gaillard fait sa caméra cachée, je suis son complice numéro un, je l’habille de la tête aux pieds” ; “J’ai dû montrer la vidéo à des joueurs avec un morceau de drap accroché à l’arrache. Sauf que le magnétoscope avait des images illisibles parce que c’est un papy qui nous filmait les matches. Et parfois, il aimait bien filmer la buvette ou les jolies filles en tribunes” ; “Je me suis retrouvé à faire des skills avec Justin Marshall”.
Les belles documents ne manquent pas. Encore moins à l’période de Fabien Galthié et Eric Béchu, à à elles pose en 2010. “L’année où on va en finale, c’est une année de fou. Quand Fabien arrive, aucune strate du club n’avait l’habitude de travailler avec une telle exigence. Il remettait de l’ordre dans la maison pendant qu’Eric mettait les formes à côté. C’était magnifique. Les deux s’adoraient, se respectaient. Parfois, je me retrouvais entre les deux à devoir trancher des décisions parce qu’ils n’étaient pas d’accord sur des compos d’équipe ou autres”.

Les fripes de commencer, Boulette en a eu. Mais ce n’incarnait oncques le bon éventualité ou la gracieuse antiquité. “À chaque fois, ça ne valait pas le coup. Mon seul regret est de ne pas avoir côtoyé des sélections.” Un mini-regret profusément équilibré par l’hardi montpelliéraine qu’il vit depuis trente ans. Et aujourd’hui, il la transmet aux comme jeunes, camarade au retranchement.



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