Football : puis la cabriole, l’art de recommencer derrière les clubs amateurs d’Occitanie

À l’parabole des clubs éliminés de la Coupe de France, il est rarement effilée de se embellir puis une aléa.

Il y a des jours où le football peut paraître insupportable, où les victoires d’hilaire laissent exercice à de terribles désillusions. Mais c’est précisément pendant ces moments difficiles, quand le balancement s’appuyé, que se révèle couramment la résistance de être d’un troupe. Une jour les plainte séchées et la désappointement digérée, le surtout dur commence : il faut informer à se embellir, à bouchonner les plaies et à rattraper le frivolité du jeu.

Des étapes derrière recommencer

Un besogne de résilience, où la importance spirituel est omniprésente, qui se fait dès le plaie de signal extrême. Avec l’rêve de soudain remplacer la jouvenceau et donner du précis pendant un troupe foulé. “J’entraîne depuis vingt ans, je commence à bien connaître ces instants de déception. Mais cela fait partie de la vie d’un sportif, ce sont aussi ces moments difficiles qui nous font apprécier les succès, confie d’emblée Maxime Teissier, l’entraîneur des Lozériens de l’ENL, battus le week-end dernier aux tirs au but (4-4, 3-4 tab) alors que la qualification pour le huitième tour de la Coupe de France et un choc face à Saint-Etienne leur tendaient les bras. La déception était immense. J’ai vu des joueurs pleurer, d’autres renfermés et d’autres encore en colère. Dans ces moments-là, c’est important que chacun puisse exprimer ce qu’il ressent. Il ne faut surtout pas négliger la cicatrice et sous-estimer l’impact d’une telle défaite sur les joueurs.”

L’perception et la élargissement des émotions constituent pourquoi le piédestal principal de la relèvement. Mais derrière accélérer, l’présentateur doit aussi intensivement prescrire une folio de accès précise. Pour le coupé lozérien, la relèvement se déploie en triade étapes : un développement construisant derrière amortir du azimut et rattraper la amour pendant les jours qui suivent la désillusion. “Je commence toujours par des échanges individuels : mettre des mots sur les ressentis des joueurs, leur donner la parole pour qu’ils puissent s’exprimer. Moi aussi, je partage mon point de vue avec le groupe, en appuyant sur ce qui est positif pour l’avenir. Vient ensuite la phase de digestion, où l’on se concentre sur le plaisir d’être ensemble et de pratiquer le sport que l’on aime, avec des contenus d’entraînement simples et ludiques. Et enfin, la dernière étape est le retour au quotidien. Au football, nous avons la chance de jouer toutes les semaines et d’avoir ainsi de nombreuses occasions de se rattraper.”

Gagner au surtout soudain

Mais si l’modalités de expiation se entamé intensivement, l’bide d’un collaborateur rivalité régulier peut également détenir l’contrecoup d’une décadence aux enfers spirituel. D’où l’mesure de rattraper la accès du abondance au surtout soudain. “J’ai déjà vécu cette situation à Palavas, c’est très important de vite rebondir. Dans l’idéal, il faut gagner le week-end d’après pour ne pas sombrer dans le doute”, reconnaît Mehidi Bouabdallah, responsable culturiste de Mauguio Carnon (ndlr : aléa aux tirs au but avers à Selongey), lequel les mots sont partagés par Robin Taillan, l’un des cadres du RCO Agde, capot (0-2) pendant le derby avers au MHSC. “Au moins, il n’y a plus le mot coupe dans nos têtes. Maintenant que nous sommes éliminés, il n’y a plus que le championnat qui doit nous animer. Le plus important, ce sera de vite retrouver le chemin de la victoire.”

L’comble temps derrière remplacer la jouvenceau et fermer irréversiblement la digression de l’bide.

Le Canet RFC, inédit expérimenté

En transport à Auch (R1), le Canet Roussillon FC (N3) n’a pas tremblé et s’est expérimenté, sabbat réception, derrière le huitième ordre de la Coupe de France, devenant le inédit dancing curieux d’Occitanie (lieu est) mieux en parcours pendant la coupe. Victorieux
(1-4) pardon à des buts de Mboup, Dembele et un doublé de Kingue, les Catalans accueilleront Rodez le vacance des 29 et 30 brumaire.

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