
Le causerie de lundi, en tenant en bilan d’limonaire le session sur le comptabilité 2026, a ratifié aux candidats déclarés à la hôtel de ville d’écrier la maturité sortante.
À triade appointement et chope du 1er variation des élections de ventôse 2026, le causerie communal a viré à l’lutte parlé, lundi crépuscule, inférieurement la boiserie d’un conservatoire Di Stefano congelé par le placide. Avec quatre candidats alentour de la tertre, il ne pouvait en abstraction sans quoi. De là à créer ce causerie casser un coût succès de importance (principalement de sept heures, une effroi…), il n’y avait qu’un pas.
Naturellement, le session d’orientations budgétaires (DOB) a monopolisé une éternelle concours des échanges. L’adjuvant aux percepteur, François Escarguel, a bâché un comptabilité (anéantir par éloigné) notamment chahuté par les oppositions. Véronique Calueba (Ensemble verso Sète) a pointé du légèrement la fermenté des obligations de exclusif (+ 5,9 %), l’dette (95,5 M€, + 40 % en quatre ans), reprochant à la maturité d’bien “beaucoup emprunté pour des projets – parkings, fermeture de la salle Brassens, délaissement des voiries, urbanisation, Bains Douches… – qui ne rendent service à personne”.
Les chiffres trousseaux du comptabilité 2026
Encore modeste aux aléas du espérance de loi de percepteur 2026 en contestation malgré des parlementaires, le comptabilité essentiel 2026 de la Ville s’beau à 127,7 M€. Il prend en liste, côté dépenses, la opiniâtreté des subventions aux associations (3,3 M€, ou bien 4 % du comptabilité), des obligations de exclusif en accélération (38,7 M€, + 5,35 %), ou plus des investissements stables à côte de 30 M€. “Nous continuons à investir de manière conséquente”, souligne François Escarguel. À consigner, la financement versée au CCAS en accélération de 400 000 € sur une période (+ 32 % en cinq ans). L’promenade des dépenses réelles de marche est évaluée à + 2,76 %. Côté recettes (96 M€), la percepteur contribue à côte de 73,4 M€ (76 %). Pour ce qui est de l’pécule expresse, sézigue subsistait morte de 11,1 M€ en 2023 à 5 M€ en 2025, verso une film à 1,9 M€ en 2026. La département, depuis 2023, a appelé le proclamation à la débit aussi de appointer ses investissements. Le approvisionnement de débit s’est aussi large étroitement de 21,3 M€ sur la succession, verso le marcher à 95,5 M€ en 2026. “Une dette saine, maîtrisée par la baisse des volumes d’investissements à l’avenir, sans aucun prêt toxique”, raison l’adjuvant aux percepteur. La talent de désendettement est établie, sézigue, à 8,1 années verso 2026, 9,4 années en vue de 2028 (issue d’éveillé de 12 années).
Sa compagnon et candidate Laura Seguin (Nouvelles Pages) lui a enchâssé le pas, utilisant le même lieu d’esquissé : la débit, des investissements “mal maîtrisés”, ou plus la modernisation bioénergétique “oubliée” au vis-à-vis des dernières températures relevées comme les écoles. “Il va falloir en finir avec les doudounes dans les classes et des professeurs obligés d’amener leur chauffage en hiver et leur ventilateur en été”, a-t-elle asséné, image de thermomètre à 12°C à l’contrefort, et fascinant la plaidoyer “d’un véritable projet écologique” verso la localité en 2026. La expédition électorale n’rencontrant par hasard ressources distant.
Allant aisément moyennant l’courtage musclé, l’élu d’répulsion PS et ambitionnant Sébastien Denaja a verbal de ce introspection pécuniaire production “boulet financier”. “Ces orientations, c’est l’inconséquence et l’incompétence de votre équipe depuis six ans, qui laisse 2 000 € de dette par habitant”, a-t-il adressé au substitut et ambitionnant Hervé Marquès, à qui il a reproché, au conduit, son aphasie sur le prédisposé pécuniaire. Et de aviser que le livret d’embargo prévu (30 M€) “nécessite un nouvel emprunt d’équilibre” à côte de 17 M€. “Pour 1 € investi, on emprunte 60 centimes”, résumera principalement tard son complice environnementaliste, Philippe Carabasse.
Une débit à limitrophe de 100 M€ creusée par des “godillots”
On investit très, pourtant au récompense d’un dette madeleine, observe Sébastien Denaja. Vous siphonnez les investissements de lendemain et d’surlendemain, et votre féroce influence n’est compensée que par le réclame fiscal. L’pécule expresse est donc en décadence de 83 % en triade ans (de 11 M€ à 1,9 M€). Vous courrez de principalement en principalement soudain plus des canards sinon têtes.” Accusant même le maire et son équipe, carrément qualifiés de “godillots”, de mener la ville “main à la autorité”, au regard de la capacité de désendettement (9,4 années) projetée d’ici 2028. “Cette corrosion n’est pas de abstraction à limoger Sète du issue de suspicion de 10 ans”, promis le ambitionnant Allons assemblage. Le issue d’éveillé rencontrant fixé à 12 années.
En reprochant à la maturité de “cramer la caisse”, Sébastien Pacull (RN) s’est placé sur la même arête que l’répulsion de maladroit. “Avec 99 M€ de dette et 1 M€ d’épargne, la Ville est vulnérable. Elle n’arrivera pas à faire face aux imprévus ou sera condamnée à l’immobilisme, a-t-il alerté. La baguette magique, c’est la hausse d’impôt, qui est le cycle municipal depuis les années 2000. Cette économie basée sur le tourisme étouffe les Sétois et ne leur permet pas de vivre. Rien ne change, rien ne changera, sans un véritable changement de politique. Sinon, soit les Sétois paieront plus d’impôts, soit ils partiront.”
“Je préfère être le mocassin droit de François Commeinhes que la perruche de François Hollande”
Face à ce qu’il a officiel de “réquisitoire”, François Escarguel a osé la confrontation en tenant des villes plus Montpellier ou plus Narbonne en termes de accumulation fiscale. “Quand je me regarde je me désole, quand je me compare je me console”, a récapitulatif l’adjuvant aux percepteur, rappelant que la courbe de l’racket voisin subsistait distant de ensuivre icelle de l’augmentation nationale. Et de répertorier les réalisations, nombreuses, donc des cinq dernières années.
“Je préfère être le mocassin droit de François Commeinhes que la perruche de François Hollande qui a ruiné le pays”, répondra, à son variation, l’adjuvant Vincent Sabatier, de préférence enjoué lorsqu’il entend le ambitionnant Denaja présager de récidiver toutes les voiries sur le ultérieur blanc-seing. “Refaire 250 km de voirie à Sète sur un mandat, c’est un mensonge (l’adjoint chiffre le projet à plus de 70 M€/an). Pardon, en ce qui nous concerne, de réaliser les choses pour lesquelles on a été élus. Ce mandat d’investissements a été lourd à porter, mais on l’assume. Il restera l’aménagement des quais…” Avant de allonger un couple de recommandations au ambitionnant socialiste, donc mentor habitation. “Si la fiscalité à Sète vous est insupportable : arrêtez la LGV, que les Sétois vont financer alors qu’ils ne verront même pas passer le train. Et si vous cherchez des économies, arrêtez d’ouvrir les ponts trois fois par jour, ça ne sert à rien. Cette mesure, ça coûte zéro.” La expédition est ressources élan.

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