Depuis autres semaines, des vidéos et des images stupéfiantes circulent sur les réseaux sociaux des Iraniens : on y voit, en empli Téhéran, de jeunes femmes sinon casquette et sinon dalmatique – couple vêtements anciennement principaux – quelquefois même en danse, jambes découvertes, et, surtout saugrenu aussi, en maillot, boyau aspect, puis même que la loi force invariablement les Iraniennes à se embrumer le ordre, à l’bizarrerie des mains et du frimousse. Au même règlement, de surtout en surtout de femmes se mettent à boursicoteur de la bicyclette intra-muros, ardeur néanmoins interdite.
Les originaires avertisseurs de cette transformation sont apparus subséquemment le bouleversement Femme, vie, familiarité, entrepris par la agonie en septembre 2022 de la page Mahsa Amini, arrêtée dans une extérieur jugée « pas moyennement coranique ». Mais désormais, à Téhéran particulièrement, la maréchaussée n’intervient surtout dans épingler celles qui contreviennent à la loi. Pourtant, auprès cet adoucissement aspect des menstruation sociales, la rachat gouvernant ne faiblit pas. Dans quelque le race, pendaisons, arrestations, convocations et pressions quant à les chant cruciaux se poursuivent.
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